Je marche aux côtés de Charlot, nous revenions de la ville ou nous avions passé une bonne partie de la journée ensemble. Ça faisait u petit moment que ‘lin ne s’était pas vu, et j’étais très contente de l’avoir revu ces derniers jours. Nous arrivons à l’entrée d’Entamer, on marche tranquillement, on a de la chance il fait beau aujourd’hui et la température est agréable, bref c’est parfait pour sortir les vêtements plus légers afin de mettre mon sublime corps en valeur. Et non je ne m’amuse pas à parler de la météo si je ne suis pas le centre d’intérêt juste derrière. Nous entrons dans l’enceinte de l’école, et continuons de marcher le long du chemin. Oui nous marchons beaucoup, mais ça fait de l’exercice et après on a de belles fesses et pour l’été c’est parfait dans le bikini sur la plage. C’est pas difficile de faire tomber tous les gars, et puis j’ai un don pour ça.

Ça fait du bien de ne pas aller en cours la journée, ainsi j’ai le temps de faire pleins de chose, comme prendre soins de moi et mon corps magnifique. Ou bien allé faire les magasins ou encore trainé avec mes amis, d’ailleurs pendant que j’y pense on n’a pas croisé grand monde pour le moment. D’habitude ça graille de parasite qui pensent être supérieur à tout le monde parce qu’elles ont la dernière paire de chaussures à la mode. Je sais vous allé dire « tu peux parler toi. » mais la différence entre elles et moi c’est que moi je SUIS supérieur et je n’ai pas besoin de chaussures à deux balles pour le prouver. Bon assez parlé de moi, je repense à Julie une fille qui est une véritable fouineuse et qui me rapporte parfois de bon ragot. La dernière fois elle m’a dit de passer voir le tableau parce qu’il y avait pas mal de rumeurs intéressantes. Je vais en parler à Charlie pour voir ce qu’il en pense, mais il me semble bien avoir entendu parler de S comme quoi c’est le bordel avec elle. Tu me diras ça à toujours été le bordel depuis qu’elle est là.

-Au faite tu sais que S délire complètement ces temps-ci… Apparemment elle aurai publiée de nouvelles rumeurs sur les élèves.

Je marchais tranquillement au côté de Ashley, vous savez cette fille qui est peste avec les autres mais que je trouve merveilleuse. Elle traine souvent aussi avec Damon et moi. Il y a bien longtemps qu'on n'a pas fais une soirée que tous les trois. Bon en même temps la dernière qu'on a fais une soirée, j'ai finis pété comme pas possible. J'ai même été embrasser un trottoir puis avec Damon....... Aujourd'hui nous avions décidé de passer une bonne journée, surtout que nous n'avions pas cours aussi c'est super ça pour une fois... Je dis ça mais c'est pas souvent que je vais en cours. Je préfère passer mon temps dehors, à rire, m'amuser que de voir la tronche des profs.

Nous voilà près de l'UE, une fois à l'intérieur nous marchions toujours tranquillement. On ne savait pas tellement ou on n'allait, à vrai dire je suivais Ashley. Et ça se trouve Ash elle me suis. Si c'est ça on est pas du tout mal barré. Ashley me parle de S comme quoi elle raconte encore n'importe quoi. Comme si les potins n'intéressait pas Ashley, c'est la première à en balancer quand elle en détient.

-Elle ne raconte pas toujours des trucs faux non plus, regarde elle a bien dis qu'avec Damon il y avait eu quelque chose. Elle avait pas tord, bon après tout le monde n'était pas obliger de le savoir.

La regarde tout en marchant mais en faisais quand même attention à ou je mets les pieds.

Je crois que l’on va un peu nul part, je viens de me rendre compte que Charlie à l’air de me suivre et étant donné que je le suis aussi, on risque pas d’aller loin. Je décide de prendre les chose en main lorsque le jeune homme me fis remarquer que S ne dis pas que des choses fausses. Certes tous ce qu’elle dit n’est pas faux mais bon faut pas non plus exagérer… Je regarde Charlot, faut que je lui montre alors sinon il va pas capter ce dont je veux parler. Et puis ça va nous occuper parce qu’à ce que je sache on à du temps à perdre et comme je n’aime pas perdre mon temps.

-Je vais te montrer, tu vas voir de quoi je veux parler.

Je nous dirige d’un pas décidé vers le tableau et regarde ou j’ai vu les annonces. Je dus chercher pendant un moment, et comme je ne tiens pas à rester devant ce tableau durant des années… Je finis par trouver ce que je cherche, je désigne l’article en question et le montre à Charlot l’haricot. Je regarde l’annonce une nouvelle fois et me tourne pour regarde le jeune homme, un petit sourire malicieux au coin des lèvre. J’aime avoir raison et fouiner dans les affaires des autres. Et ce genre de renseignement comme celles que publie S je ne m’y suis jamais vraiment attardé mais c’est vrai qu’une fois que l’on me lance sur la piste je veux connaitre la suite et la notamment les personnes dont elle parle.

-Tu vois, je n’avais pas menti. Elle exagère quand même, et puis c’est bizarre que ce genre de chose arrive jusqu’ici. Cette école est étrange de base donc au final plus rien ne devrai nous étonner.

Ashley décide de m'emmener vers le panneau d'affichage pour me montrer ce qu'à encore sortis S. Pour moi c'est encore un gros délire de cette folle, je ne crois pas tout non plus. Bon c'est vrai que la dernière fois elle a dis qu'il y avait quelque chose avec Damon, elle a pas eu tors mais il y aura rien de plus. Elle a fais bavé tout le monde sur notre baisé, mais ils auront vraiment rien de plus même s'ils nous suppliaient. On se respecte quand même. Elle recherche quelque chose pendant que moi je survole le panneau. Elle trouvait l'information.

-Tu vois, je n’avais pas menti. Elle exagère quand même, et puis c’est bizarre que ce genre de chose arrive jusqu’ici. Cette école est étrange de base donc au final plus rien ne devrai nous étonner.

Elle venait de mettre qu'il y avait un assassin qui avait pris la fuite. Qui n'assume pas ses actes. Ma bouche se retrouva ouverte en grande, ouverte de surprise. Mes yeux fient la même chose. J'étais étonné, et plutôt horrifié de ce qu'elle venait de dire. Je me sentais coupable tout d'un coup. Mon passé, mon meurtre INVOLONTAIRE -je le rappel-. Tante par tous les moyens de reprendre mes esprits puis réponds à Ashley.

-C'est vrai tu as raison elle délire complètement.... Personne n'est capable de faire ça réellement... Tu crois pas ?!

J'espère qu'elle va être d'accord avec moi, je sais que j'ai l'air très coupable.

Charlie put constater de lui même les annonces de cette chère fouineuse de S. Si je ne lui avait montrer il ne m’aurai sans doute pas cru et j’aurai perdu ma crédibilité hors je ne peux pas permettre ça donc ça fais une raison de plus. En plus, ça nous occupe donc que demander de mieux ? J’attends la réaction du petit Charlot, je tourne la tête pour voir qui passe non loin avant de regarder Charlot qui s’est décomposé entre temps. Euh.. il est malade ou comment ça se passe ? Je le regarde interloquée, d’un air « tu me dis ce qu’il t’arrive ou comment ça se passe ? ».

-C'est vrai tu as raison elle délire complètement.... Personne n'est capable de faire ça réellement... Tu crois pas ?!

mais qu’est ce qui lui arrive ? Il a perd du barge assassin ou il agit étrangement mais n’empêche qu’il n’a pas l’air très a l’aise. Je ne sais pas ce qui lui passe par la tête ni pourquoi genre de nouvel le perturbe mais c’est assez perturbant de le voir dans cet état là. Donc je ne compte pas le lâcher pour savoir ce qui le dérange tant que ça.

-Qu’est ce qu’il t’arrive mon petit Charlot tu es aussi pâle qu’un cachalot !

Il a la même tête que quelqu’un qui est malade à en crever, non mais sans blague. Désolée pour la comparaison mais je ne pouvais pas m'en empêcher ! Il y a un truc pas net là dedans, et je suis bien curieuse de savoir ce qui ce passe. Et puis on le sais tous, j’obtiens toujours ce que je veux, qu’importe le prix. Et puis comme j’ai trop de doute, je vais carrément lui demander des explications comme ça je serai fixée.

-Toi tu me cache quelque chose...

-Qu’est ce qu’il t’arrive mon petit Charlot tu es aussi pâle qu’un cachalot ! Toi tu me cache quelque chose...

Non, pas possible, non mais c'est pas vrai. J'y crois pas ! Moi qui voulait être discret, si elle commence à dire ça je vais passer pour quoi ? Un criminel ? Non c'est pas ce que je suis, c'est pas moi. Si je l'ai tué, c'était pas volontaire, c'était à cause de l'alcool. Pourquoi ça n'arrive qu'à moi ? Pourquoi ? Et puis maintenant Ashley qui veut savoir pourquoi j'ai une tête de quelqu'un qui est perturbé.

-Euh.... t'inquiète j'ai pensé.... à autre chose... au même moment....

Je parle comme quelqu'un qui n'est sûr de lui, qui ne sait pas non plus ce qu'il dit. Et puis il y a trop de monde ici pour en parler, les murs ont des oreilles, elle sait tout. Je pourrais partir dans un autre pays, qu'elle continuait à me pourrir la vie.

-Franchement t'inquiète... !

Un regard autour de moi, inquiet comme pas possible. Mon front commence à dégouliner à cause de la sueur, je commence à me sentir mal, de plus en mal. Comme si j'allais tomber sur le sol, casi mort. Je regarde Ashley rapidement et commence à partir loin du tableau. Mais rapidement le mal que j'avais en moi me rattrape. Ma vue se brouille, mes jambes trembles de partout, deviennent toutes moles avant de me lâcher. Le sol ce rapproche de plus en plus, mon corps vient s'écraser sur le sol. Mes yeux se ferment, allongé de tout mon long sur le sol. Inconscient ! Dans ma tête tout ce bouscule, le tableau, Ashley avec ses questions, l'accident, le corps du jeune que j'ai tué, mon anniversaire.

Charlie craqua, il fallait bien que ça arrive. Il transpirait, limite il était au bord de la panique. Je suis certaines que si on lui aurai donné un revolver il se serai tiré une balle direct. Son état est limite affolant, c’est pas normal de réagir ainsi juste pour des annonces, comme on dit, il y a anguille sous roche. Mais sérieusement il faut qu’il se calme, il commence à me faire peur et tous le monde regarde bizarrement même si je n’y prête pas attention c’est pas une raison. Oui j’ai bien dis que je n’y prêtai pas attention, faut pas exagérer non plus, Charlie est quand même plus important que eux. Même si j’aime que les gens fasse attention à mon apparence et à mon image mais la il n’en est pas question , Chalrot passe d’abord. Je sais encore faire la part des choses, même si je m’aime.

-Euh.... t'inquiète j'ai pensé… . à autre chose... au même moment… .

Bah oui, justement je m’inquiète, sans blague, il pense sincèrement que je vais le croire surtout dans cet état ? C’est mal me connaitre mon ptit chou.Je le regarde s’éloigner sans que je comprenne son intention, mais qu’est ce qu’il me fabrique ? Je fronce les sourcils et le regarde faire le visage étonné. Je ne prononce pas un mot afin de voir ce qu’il va se passer, partit comme ça, ça promet… . Et j’avoue que je n’ai pas été dessus de la suite : Charlie se mit à marcher rapidement puis en moins de temps qu’il n’en faut se retrouva étalé par terre, inconscient. Non mais franchement, j’adore Charlie mais là je dois vraiment avouer que je du me retenir de ne pas rire; Il c’est écrasé un peu comme une merde. Je finis par bouger en m’approchant en courant de lui pour savoir ce qu’il en est. Je le secoue et l’appelle sans réponse. « Franchement t’inquiète. » m-a-til dit, voilà ou ça nous mène, c’est un prit rigolo quand même. Je me décide à agir, je sors mon portable et appelle de l’aide, je vais pas le porter quand même : 1- parce que je suis une fille. 2- Parce qu’il à transpiré. 3- Je fais comment ? Je le traine ? J’appelle donc deux immonde vermine qui me fond pitié c’est d’ailleurs pour ça que j’ai leur numéro. Il ne mirent pas beaucoup de temps à arriver après mon appelle, c’est parfait.

Les deux débile emmenèrent mon cher ami inconscient à l’infirmerie. je les suivais de près derrière en rasant bien attention à qu’ils fassent eux-mêmes attention à ne pas faire n’importe quoi avec Charlot. L’infirmière le consulta ensuite puis sorti de la pièce en disant qu’il avait besoin de repos. Quand à moi et bien je reste à ses côté comme une gentille fille. Non sérieusement je laisse échapper un long soupir désespéré.

-Mais qu’est ce que je vais bien pouvoir faire de toi ?

Je regarde mon ami couché sur un lit qui m’a l’air d’un inconfortabilité… Je dois avouer que je suis contente de ne pas être à se place. S’il il pense que je vais le lâcher ainsi, il se four le doigt dans l’oeil après ce petit numéro s’en est finit de lui. Je compte bien savoir ce qu’il se passe et pourquoi cette crise d’angoisse, il a du se passer quelque chose d’important. Faut l’avouer ma curiosité prendra le dessus, j’ai toujours ce que je veux et je ne vais donc pas m’arrêter là.

C'est à cause du panneau d'affichage que je suis dans cette état, et surtout de la faute de S. Si elle savait se taire, si elle se mêlait de ce qu'il la regardait personne ne serait là. Pour moi certain se sont suicidés à cause d'elle, on dit toujours que c'était un accident et tout mais moi j'y crois pas. Au début je pensais qu'elle racontait n'importe quoi, mais quand je vois ce qu'elle a marqué sur moi je me dis que c'est vrai. J'avoue elle n'a pas mis mon nom, mais quelqu'un qui a écrasé une autre personne et qui a pris la suite, j'ai envie de dire que ça ne court pas les rues.

Je m'étais écroulé dans la cour suite à un malaise, de l'angoisse que l'on connaisse mon secret. Dans ma tête tout ce bousculait sans savoir comment me sortir de se pétrin. Et puis Ashley avec sa curiosité maladive elle va vouloir à tout prix savoir ce qu'il sait passé, pourquoi je suis parti, pourquoi mon comportement a changé et surtout du pourquoi j'ai agis comme tel.

-Mais qu’est ce que je vais bien pouvoir faire de toi ?

Mes yeux s'ouvrirent tranquillement, tout était flou. Je vis que je n'étais plus dehors mais dans l'infirmerie. Je crois que c'est Ashley qui m'a transporté ici où plutôt ses caniches à deux pattes. Personnellement, je ne comprends pas comment elle fait pour les avoirs à longueur de temps derrière elle. Ils la suivent tous comme des petits chiens. Ils ont vraiment pas de vie ses gens là, quoi que je crois que je préférais ne pas avoir de vie que d'avoir la vie que j'ai eu avant de venir ici.

-Mais ... mais qu'est ce qu'il sait passé ?!

Une douleur à la tête, je pose ma main sur l'endroit ou j'ai mal c'est à dire sur le front mais côté gauche. Je fronçais les sourcils à cause de la douleur et puis d'un seul coup je me souviens du pourquoi je suis ici sur ce maudit lit. Il faudrait qu'il pense à le changer, c'est encore les vieux lits avec les ressorts qui dépassent de partout.

Le regard D'Ashley, me fait peur, son regard veut dire : Toi et moi faut qu'on parle ! Je sais que je vais avoir le droit à l’interrogatoire, mais ce que j'ai peur c'est que si je lui dis c'est de la perdre, de perdre tout le monde, qu'elle le dise à Damon, à San et même à S. J'ai confiance en elle, mais quand on connait un secret comme celui ci, l'envie est de le dire, de le faire partager. SI celui ci est dévoiler, je partirais loin d'ici si j'ai le temps.

J’attendis un petit moment avant que la belle au bois dormant dédaigne ouvrir les yeux. Le pauvre, il semblai complètement perdu. Vraiment je me le redemande : qu’es ce que je vais bien pouvoir faire de lui ? Faut que je trouve le moyen de lui faire cracher le morceau. Je me tourne vers le jeune homme qui commence à reprendre ses esprits :

-Mais ... mais qu'est ce qu'il sait passé ?!

Le pauvre petit ne sait vraiment plus ou il est, on se croirai dans un film ou je serai bien évidemment l’héroïne et Charlie mon fidèle compagnie.  Ça pourrait être drôle, je ferai une formidable actrice en tout cas. Je verrai ça plus tard, il faut d’abord que je m’occupe de rafraichir la mémoire de ce cher petit Charlot. Mais tout cela en douceur bien évidement… ou pas, ça va dépendre du temps qu’il va mettre à déballer tout ce qu’il a à dire au sujet de ce petit incident.

- Et bien , c’est simple on est allé en ville se balader, c’était très sympa. Puis on est rentré et je t’ai parlé de S, on a débattu pendant environ 10 minutes avant d’aller au tableau pour voir toutes les conneries qu’elle à pus balancer. Tu as lu cette fameuse annonce et tu es devenu tout blanc, tu as commencer à t’enfuir. Et pour finir tu t’es écroulé dans la cours. Du coup j’ai du rapatrié du monde pour t’emmener ici ou l’autre bimbo d’infirmière c’est occupé de toi et la tu viens de te réveillé.

Bon j’ai finis mon petit résumé de la journée, je vais enfin pouvoir commencer à lui demander ou devrai-je dire, le torturer à me raconter ce qu’il se passe dans sa petite tête. Mais je n’ai pas envie de m’acharner sur lui donc j’espère qu’il va vite craquer. Et puis c’est mon ami je n’ai pas envie de devenir méchante pour avoir les informations qui m’intéresse mais ça à quand même l’air de le bouffer de l’intérieur. Ça me parait logique, il n’aurai pas réagit comme ça sinon.

-Donc, maintenant que tu as pus revitalisé dans ta tête le cour de la journée tu vas pourvoir me dire pourquoi tu as réagi ainsi ?

Je le regarde un petit sourire diabolique mais pas méchant quand même. Je suis fourbe mais je le répète c’est mon ami donc on commence en douceur. Il vient de se réveiller donc autant ne pas y aller trop fort sinon je sens que je n’obtiendrai aucune réponse. J’ai tout mon temps de toute façon, je ne vais pas le lâcher de si tôt.

- Et bien , c’est simple on est allé en ville se balader, c’était très sympa. Puis on est rentré et je t’ai parlé de S, on a débattu pendant environ 10 minutes avant d’aller au tableau pour voir toutes les conneries qu’elle à pus balancer. Tu as lu cette fameuse annonce et tu es devenu tout blanc, tu as commencer à t’enfuir. Et pour finir tu t’es écroulé dans la cours. Du coup j’ai du rapatrié du monde pour t’emmener ici ou l’autre bimbo d’infirmière c’est occupé de toi et la tu viens de te réveillé. Donc, maintenant que tu as pus revitalisé dans ta tête le cour de la journée tu vas pourvoir me dire pourquoi tu as réagi ainsi ?

Ashley me racontait ce qui c'était passé, elle me disait pas tout dans les détails mais le plus gros pour que je suis me ressitué. Actuellement j'avais encore du mal, pour mieux comprendre je la laissais finir son récit. Puis d'un seul coup, je me rappel ce qui c'était vraiment passé. Je redeviens blanc, oui encore. Mais en même temps quand on voit son secret être dévoilé devant tout le monde on ne se sent pas bien. Par chance S n'a pas dis le nom, mais ce n'est qu'une question de temps, elle pourrait le faire d'un moment à un autre. Le regard de Ashley me perturbe, et surtout son sourire. Je la regarde vraiment honteux, c'est même plus une honte c'est bien plus fort. Je baisse mon regard, mon sourire a totalement disparu. C'est bien rare, mon surnom est bien Colgate a cause de mon sourire.

-Ne m'en veux pas... S disait qu'il y avait un criminel ici, quelqu'un qui a tué une personne avec une voiture... Cette personne... tu l'as devant toi. C'est moi qui l'ai tué... c'était pas volontaire, j'ai pas voulus...

Des larmes montent en moi, je suis très touché sur ce sujet. C'est une partie de mon passé, je veux plus en entendre parlé. Voilà le pourquoi je suis venu ici, pour tout oublier.

-C'était pendant mon anniversaire mes 18 ans, j'ai bue et je l'ai pas vue. M'en veux pas, j'ai pas voulu cacher ça... c'est trop dur à supporter....

Je me cache le visage tellement c'est cruel et surtout la souffrance que j'en dur. La plus dur des souffrances c'est de savoir qu'une famille souffre toujours à cause de moi. J'ai pas envie d'aller en prison pour pas gâcher ma vie, mais d'un autre côté j'ai gâché celle d'une famille. Ils pleurent toujours leurs frères, leurs fils, leurs cousins, leurs petits-fils....

Je regarde Charlie qui encore une fois redevient blanc et bien on peut pas dire que Charlot n’est pas émotif après ça. Mais j’attends toujours qu’il me raconte ce qui lui passe par la tête. Je sens qu’il va craquer, je le sens, ça va venir. Mais avant il faut qu’il se calme ça va pas le faire sinon je craint le pire déjà qu’il s’évanouit en regardant le tableau, j’imagine pas ce qu’il va me faire après dans un lit à l’infirmerie.

-Ne m'en veux pas... S disait qu'il y avait un criminel ici, quelqu'un qui a tué une personne avec une voiture... Cette personne... tu l'as devant toi. C'est moi qui l'ai tué... c'était pas volontaire, j'ai pas voulus… C'était pendant mon anniversaire mes 18 ans, j'ai bue et je l'ai pas vue. M'en veux pas, j'ai pas voulu cacher ça... c'est trop dur à supporter….

What ?? C’est quoi cette histoire ? Et il me fait tous un patacaisse pour ça ? Oui c’est vrai que pour une seule personne c’est pas facile a garder en soit. Mais pourquoi il m’en à pas parlé plus tôt, je suis pas stupide je ne vais pas le crier sur tous les toits. Je finis par comprendre que ce n’est pas simple de porter un si lourd fardeau tout seul. Pauvre Charlot, il faut bien compatir le pauvre petit choupet.

-C’est tout ? Enfin je veux dire, tu penses sincèrement que je ne vais plus te parler pour ça ? Je t’apprécie pour ce que tu es pas pour ce que tu as fais, j’irai même jusqu’à dire que je m’en fiche. Et puis je peux te dire qu’avec le travaille de mon père j’en ai vu des pas mal aussi, donc ne te fais pas de soucis de se côté là, tu reste et demeureras toujours mon ami.

Je crois ques ça fait des années que je n’ai pas adressé la parole d’un ton si compatissant et si calme à quelqu’un. C’est presque bizarre, mais d’un côté je suis bien contente que ce soit à Charlie.

Non mais a quoi je pense moi. Je suis tombée dans le monde des bisounours ou quoi ! Tss, allé Ash’ reprends-toi, on va me prendre une crétine sans cervelle, prête à chialer au moindre truc qui ce passe. Non je ne suis pas comme ça, après tout je suis parfaite ce n’est pas pour rien, j’ai un coeur sis je vais pas non plus devenir trop sentimentale sans raison.

-Enfin, reprends-toi un peu, ne te laisse pas aller, ça va passer. Laisse dire cette S et passe au dessus de tout ça, lui dis-je d’un ton un peu plus ferme et sur.

-C’est tout ? Enfin je veux dire, tu penses sincèrement que je ne vais plus te parler pour ça ? Je t’apprécie pour ce que tu es pas pour ce que tu as fais, j’irai même jusqu’à dire que je m’en fiche. Et puis je peux te dire qu’avec le travaille de mon père j’en ai vu des pas mal aussi, donc ne te fais pas de soucis de se côté là, tu reste et demeureras toujours mon ami. Enfin, reprends-toi un peu, ne te laisse pas aller, ça va passer. Laisse dire cette S et passe au dessus de tout ça

Ashley me remontait grandement le moral, heureusement qu'elle est la c'est bourrique. Alors comme ça elle s'en fichait pas mal, et elle disait qu'avec ce que son père fait c'est pas bien grave. La je n'ai pas vraiment envie de connaitre le métier de son père, vous imaginez s'il tue des gens... J'ai pas envie de servir de pâté pour chat. Bon après tout elle n'avait pas tort, elle ne sait exactement ce qu'il sait passé ce soir là. Et puis c'est du passé pour tout le monde, sauf pour la famille du mec. Ils sont toujours en peine et en colère de mon acte et de ma lâcheté.

Me laisser aller, comme si Charlie Parker Desting pouvait se laisser aller. Non c'est pas possible il faut que je garde le sourire surtout, on me connait surtout pour mon sourire et aussi pour ce qu'il sait passé avec Damon dans la piscine publique. C'était un bon moment, je me rappelle de m'être explosé la tête sur le sol parce que j'avais loupé le trottoir. Bref revenons à nos moutons parce que la je m'éloigne vraiment.

-Tu as raison Ashley, je dois pas la laisser prendre le dessus sur moi. Je dois faire comme si elle n'avait rien dis. Lui faire croire que sa me touche pas.

Je me redresse, maintenant je suis bien assis. Je la regarde avant de regarder autours de moi. Je soupire en voyant la chambre de l'infirmerie. L'infirmière rentre dans la pièce.

-ça va mieux M.Desting ?

-Oui oui, vous inquiétez pas !

Elle sortit de la pièce et ferme la porte. Je regarde Ashley.

-J'aurais préféré me retrouver allongé sur mon lit que sur ce lit. Chambre pas terrible, lit pas du tout confortable. Connaissant tes goûts de luxes, j'aurais pensé que tu m'aurais fais déposer dans ma chambre.

Je la regarde, elle sait très bien que c'est pour l'embêter un peu. Je sais aussi qu'elle a du faire appel à ses gorilles pour me déposer ici. C'est pas avec ses petits bras qu'elle m'aurait amené ici.

En moins de cinq minutes ma façon de pensée à changé, je fais fort je l’avoue. Je ne suis pas lunatique, ça doit être le soleil, enfin on va sortir ça comme excuse ça passe crème. Je regarde le ptit Charlot, ça à l’air de cogiter à l’intérieur. C’est assez comique ça tête, un petit sourire en quoi illumina mon regard.

-Tu as raison Ashley, je dois pas la laisser prendre le dessus sur moi. Je dois faire comme si elle n'avait rien dis. Lui faire croire que sa me touche pas.

Je suis bien contente de lui avoir remonté le moral, en même temps, je lui doit bien ça. Et puis elle est vraiment spéciale cette S, elle est pitoyable, elle n’a pas assez de cran pour ce montrer. C’est ridicule de se caché derrière ces pauvres annonces. Elle ne manque vraiment pas d’air celle-la. L’infirmière qui passait par là, regarda dans la chambre a travers l’encadrement de la porte qui était ouverte. Je jette un petit coup d’oeil accompagné de mon air supérieur. L’infirmière me vit, baissa les yeux et continua son chemin, quand à moi, je me tourne vers mon ami.

-Je sais, c’est bien connu enfin.

Lui répondis-je d’un ton ironique, enfin je dis ironique mais je le pense dur comme fer. En même temps j’ai toujours raison, alors pourquoi mentirai-je ? Je regarde autour de nous, cette salle est vraiment moche et ça pue la mort. Je pleins vraiment ce pauvre Charlie qui ce retrouve cloué au lit pour le moment. Tient voilà la bimbo d’infirmière, mon sourire agréable laisse place à un sourire hautain qui montre ma supériorité à cette pauvre fille. Elle demande à Charlie ci il va bien tout en essayant d’évité mon regard oppressant. Charlie lui répondit que ça allait, puis une fois que l’autre dinde fut partit, il me râla dessus :

-J'aurais préféré me retrouver allongé sur mon lit que sur ce lit. Chambre pas terrible, lit pas du tout confortable. Connaissant tes goûts de luxes, j'aurais pensé que tu m'aurais fais déposer dans ma chambre.

-Hého, je ne te permet pas jeune homme, en même temps qu’elle idée de s’endormir au milieux de la cours. Mais si votre seigneurie le désir je peux le faire déposé dans son lit, lui répondis-je d’un ton ironique.

Un sourire agréable et mon visage doux avait reprit leur place lorsque l’infirmière était partie. En même temps, je dois avouer que cet établissements pourrai faire un efforts pour le confort des élèves, en particulier pour le miens. Il suffit de regarder la peinture des murs dans l’internat pour comprendre de quoi je veux parler.

-Mais tu as raisons, cette chambre est pitoyablement aménager, ils pourraient faire des efforts. C’est presque une honte que des élèves dignes de nous devons nous installer sur ces… je ne peux même pas appeler ça des lits. Je suis pratiquement sur que le sol est plus confortable.

Oui, oui j’ai dis nous et pas uniquement moi. En même temps c’est normal, Charlie est mon ami et si il est avec moi, c’est normal qu’il bénéficie des même privilèges que moi. Je sais, je suis vraiment très généreuse.

Elle est pas vrai cette Ashley, elle se sent déjà supérieur aux autres et elle se dérange pas pour le faire comprendre. C'est une vantarde, mais qu'est ce que je l'apprécie celle chieuse.

-Hého, je ne te permet pas jeune homme, en même temps qu’elle idée de s’endormir au milieux de la cours. Mais si votre seigneurie le désir je peux le faire déposé dans son lit, lui répondis-je d’un ton ironique.


J'aime bien, elle m'appelle Jeune homme. Elle est comique cette petite. Comme si j'avais choisis d'aller dormir dehors. En plus le sol est pas agréable, heureusement que le lit est bien plus agréable que le sol mais c'est pas du luxe.

-Non t'inquiète c'est bon sa va mieux. Je ne voudrais pas t'abimer.

Je venais de lui dire avec un sourire moqueur, on aime bien se taquiner. Je me souviens quand même de notre première rencontre, elle était pas très contente que je vienne les déranger dans la salle de cours la petite Ash et le grand Dam.

-Mais tu as raisons, cette chambre est pitoyablement aménager, ils pourraient faire des efforts. C’est presque une honte que des élèves dignes de nous devons nous installer sur ces… je ne peux même pas appeler ça des lits. Je suis pratiquement sur que le sol est plus confortable.

Qu'est ce qu'elle me fait bien rire cette petite. Ah c'est Ashley ! La petite princesse. Bref, moi ça va mieux. Pose les pieds sur le sol et je me relève. J'attrape ma veste et me la remets sur le dos. Avec Ashley on partit de l'infirmerie, on allait pas rester dans ce taudis toute de même.