PRÉNOM(S) NOM ; Lindsey Rylee Wise
SURNOM(S) ; Lilou
ÂGE ; 19 ans
DATE & LIEU DE NAISSANCE ; 31/01/1996 à Sacramento en Californie
STATUT AMOUREUX; Célibataire
ORIENTATION SEXUELLE ; Hétéro
ÉTUDES ; Criminologie
GROUPE ; Aucun
SIGNES DISTINCTIFS ; J'ai un tatouage caché sous mes vêtements *sourire taquin* - une petite koï d'environ 7 cm située à droite de mon bas ventre.
VILAIN SECRET ? ; Je souffre de somnambulisme, notamment quand j'avais 8 ans. Ça s'est calmé depuis quelques années, mais il m'arrive d'avoir encore des épisodes lorsque je suis stressée ou quand je dors dans un endroit qui ne m'est pas familié. J'ai tout de même des antidépresseurs dans mon sac, en prévention pour les soirs où je découcherais, ça diminue le risque de me lever la nuit. Je reste discrète par rapport à mes sorties nocturnes, je serais vite prise pour une cinglée. Ou pire, certains seraient capables de me jouer des tours.
PERSONNALITÉ SUR TON AVATAR ; Shailene Woodley

On me décrit souvent comme étant une nana pétillante, on apprécie assez ma compagnie. Je croque la vie à pleine dent, je profite de chaque instant qui m'est offert – un peu cliché comme discours, mais c'est la réalité. On a qu'une vie, une seule chance de pouvoir la goûter, la savourer. Et tant de choses à découvrir. Comme tout le monde j'ai aussi mes petits moments de faiblesse, mais je suis loin d'être celle qui s'enfermera à double tour dans une chambre sombre en attendant que le temps passe. Ces moments là je ne les partage pas, mais je suis suffisamment souple pour me mettre un coup de pied au cul *rit*.

Pour autant, je n'aime pas me faire remarqué, certains de l'université ne savent même pas que j'existe. Et c'est pas plus mal. Je suis mon petit bonhomme de chemin.

Je suis sympa et cool, mais ça n'empêche que je ne me laisse pas marcher dessus. Je sais avoir du répondant et j’aboie si nécessaire (j'n'ai pas encore appris à mordre).

De manière générale, je dirais que les adjectifs qui me correspondent le mieux sont généreuse, indulgente, capricieuse, têtue, souriante, et un peu folle parfois.

Je ne me souviens pas tellement des premières années de ma vie. Mes parents disent souvent que j'étais un bébé agréable, calme et souriant, tout le contraire de mon petit frère Dylan – on a 2 ans d'écart. Mon enfance a été tout à fait banale. J'ai suivi une scolarité assez tranquille, appréciée des professeurs sans pour autant être première de la classe.

L'année de mes 6 ans a été marquante cependant. Mon père a été licencié, et s'est mis à boire, d'ennui certainement. Cette dépression chez lui l'a rendu quelque peu violent avec ma mère, mon frère et moi. Et le stress que je pouvais accumulé s'est extériorisé par des crises de somnambulisme, apparemment. C'est mon frère qui a alerté ma mère de mon comportement, lui demandant innocemment pourquoi je me levais la nuit et que je l'ignorais alors qu'il me disait d'aller me recoucher. J'ai une relation assez fusionnelle avec Dylan ; il était très frustré lors de mes épisodes (oui on dormait dans la même chambre à cette époque). Et une nuit, je me suis retrouvée aux urgences avec le bras dans le plâtre – tomber d'un lit superposé en plein sommeil peut être fatal ! Depuis, j'ai des petites manies avant d'aller me coucher. Je vérifie que la porte soit bien fermée, qu'aucun objet dangereux ne traîne, et que je suis suffisamment proche du sol pour ne pas m'ouvrir le crâne en cas de chute.

J'ai donc passée ma 10eme année et le reste de mon parcours scolaire à Québec, au Canada. Ma mère a pris la sage décision de quitter mon père après ces 4 ans de négociation avec lui. Quitter l'alcool, gérer ma maladie, assurer une scolarité correct pour Dylan et moi, la décision de ma mère a été aussi difficile qu'évidente, pour notre bien à tous les trois. Plus de violence, mais plus de père. On reste tout de même en contact, mais dans un autre pays. Un temps d'adaptation a été nécessaire pour qu'on trouve nos marques sur ce nouveau territoire où les gens peuvent aussi parler français (une langue terriblement compliquée...). Mais habitant non loin du fleuve Saint-Laurent, la découverte de tous ces magnifiques paysages et de toutes les activités à faire nous a vite conquis et nous a fait oublier le mal du pays.

Ma dernière année de lycée s'est clôturée avec un bac scientifique et une mention assez bien. Ouf, je pensais ne jamais pouvoir en sortir ! J'ai mis de côté les histoires de cœur ; de ce fait, je vais débuter mes études supérieures avec ma virginité et aucune expérience en la matière. Ok il y a les copines, les films, tout ça. Je connais la théorie mais en pratique, c'est un autre délire.

Aujourd'hui, j'intègre l'université Enamor pour sa réputation et son taux de réussite. Située à plus de 2h30 de chez moi, l'internat est inévitable. Malgré mes crises de somnambulisme qui se font plus rares, je devrais pouvoir gérer ce trouble du comportement en étant seule dans ma chambre et en fermant la porte à clef !