Nathan, vous le connaissez assez bien il adorait se changer les idées aux parcs ou alors des endroits ou il y avait pas grand monde mais voila qu'aujourd'hui celui-ci voulait faire différemment pour changer. Après tout au centre commercial il y avait des réductions à perte de vue alors pourquoi n'allait-il pas tenter également sa chance. C'est sur qu'il n'allait pas arriver le premier étant en béquilles. Nathan se faisait énormément bousculer irrespectueusement mais heureusement ce matin il n'y avait personne après tout il était seulement huit heures, personnes était motivé alors.

Nathan décida aussitôt de s'aventurer dans de petites boutiques, certes ce n'était pas du luxe mais il pouvait y trouver son bonheur pour de petits prix qui allaient être encore plus petit de plus. Les escaladeurs afin de s'y rendre au deuxième étage n'étaient en marche, étrange aucun escalier en vue également. Alors il restait l'ascenseur, oui. Pour tout le public, normalement ce n'est qu'aux personnes en difficulté enfin bon. Depuis cinq beaucoup de personnes m'exaspéraient en me citant que c'était aussi pour moi. J'ai que des béquilles & une atèle c'est tout, je ne suis pas d'un grave cas non plus, ces personnes-là qu'est-ce que ça pouvait le saouler, mais il ne disait rien. Ce matin il n'avait pas le choix, personnes après tout comme tout était hors ligne.

Sans plus attende quelques instants Nathan s'aventurait dans cette cage immense où il y avait seulement une trappe et aucunes autres issues, bon normal quand on y réfléchit et bien. Lui qui ne supportait être enfermé ce n'était pas quelque chose de facile, quand un jeune homme s'était rejoint auprès de lui, le stress commençait à disparaître un petit moment, il se décalât afin de lui laisser un espace. Au jeune inconnu, plutôt pas mal gaulé, beau mec en réalité.

Bonjour, dit-il aussitôt simple politesse accompagné d'un sourire habituelle mais on pouvait y remarqué son mal aise, les portes ses refermaient et les jeunes se faisaient transporter ensemble au deuxième étage. De toute façon il avait yen seulement deux alors temps mieux cela faisait quelque seconde d'attente avant de sortir d'ici, sauf que. Voilà maintenant trente secondes puis quarante, maintenant une minute. Nathan ne sentait plus aucune secousse, l'ascenseur était bel et bien bloqué.

les deux se regardaient, les pupilles dilatées. Ils avaient compris, comment sortir d'ici ?.

Sauf cas exceptionnel, six heures du matin n'était pas une heure humainement acceptable pour se réveiller. Mon avion s'était posé hier, et je crois que mon horloge biologique n'avait pas compris le principe des six heures de décalage horaire entre Toulouse et Montréal. Je ne devais arriver à la fac qu'aujourd'hui, j'avais donc dormi à l'hôtel, et malgré le temps que j'ai passé à me retourner dans mon lit ou les baffes que je m'étais infligé, pas moyen de me rendormir. A sept heures donc, je me levai et  -je le regretterais plus tard- pris une douche bien froide histoire de me réveiller. Une photo de l'heure que j'envoyai à Jun pour qu'il se moque de moi, des vêtements, et j'étais prêt à m'échapper visiter Montréal avant d'aller pleurer sur les bouquins type ECG facile, ou autres horreurs semblables à la fac.
Peut-être étais-je juste un énorme fragile, mais les rues de Montréal ressemblaient à New York dans Le jour d'après. C'était horrible, l'apocalypse, la nouvelle ère glaciaire! Surtout que moi, bon gros toulousain pas habitué à la neige et au froid, j'avais tout au plus un blazer et un manteau. Bref, je crevais de froid, et maintenant je regrettai la douche froide. Pour me réchauffer un peu, je décidai de me diriger vers le centre commercial que j'avais repéré non loin de l'hôtel en arrivant hier après midi. Avec un peu de chance, il y aurait même un restaurant vegan, histoire que je fasse pas ch*er le pauvre serveur dès huit heures du matin avec des questions du genre "Excusez moi, vos chocolatines vous les faites avec du beurre ou de la margarine?", pour un tant soit peu qu'ils connaissent les chocolatines dans ce glaçon qui leur servait de pays.

Sans doute les québecois étaient-ils des gens plus ouverts d'esprit que nous autres français, puisque je trouvai sans difficulté un petit resto vegan sympathique une fois dans le centre commercial, avec de surcroît un serveur fort mignon et souriant. J'étais sidéré: était-il possible de sourire ainsi alors qu'il avait dû se lever encore plus tôt que moi? J'essayai tant bien que mal de lui rendre un sourire au moins aussi éclatant, vainement, puis lui commandai un thé avec des muffins. Une fois mon petit déjeuner payé, je repris ma route à travers la galerie marchande.
Le deuxième étage n'était accessible que par des escalators, mais personne n'arriverait à me faire monter sur ces trucs; j'avais depuis tout petit l'impression qu'ils allaient me bouffer la jambe. Le pompon, c'est qu'ils étaient en panne les monstres, ce qui était bien pire encore, puisqu'à tout moment ils pouvaient se remettre en marche, avec moi dessus. En clair, hors de question que je monte sur ces erreurs de l'espèce humaine. Je jetai donc un regard circulaire autour de moi, et avisai un ascenseur non loin, avec un mec en béquille entrain de monter dedans. D'un pas plus rassuré que si j'avais dû monter sur les escalators, je montai après lui.

"Bonjour", répondis-je en toute neutralité, pour éviter d'ajouter à son mal être apparent. Sans doute supportait-il les ascenseurs aussi bien que moi les escalators. Je regardai le visage du jeune homme à mes côtés au moment où les portes se refermaient. Il m'avait l'air un peu claustro le petit.

Qu'il le soit réellement où non, le destin semblait ne pas vouloir de moi à l'étage de cette galerie marchande, puisqu'à moins que nous ne soyons tombés sur l'ascenseur le plus lent de l'univers, il devait être bloqué. Je tournai la tête vers mon compagnon de galère. Ses yeux me faisaient penser à un animal effrayé. Donc définitivement oui, claustrophobe. J'appuyai sur la petite cloche qui, dans mes souvenirs, était le symbole de "Salut, on est bloqués", puis haussai un sourcil vers l'inconnu.

"Panique pas. Ça arrive ce genre de chose, ils vont débloquer l'ascenseur et on va pouvoir sortir." Ou pas d'ailleurs, mais vu son état de sérénité, je ne préférai pas préciser qu'à une heure pareille, les gens chargés de régler ce genre de problèmes devaient certainement encore ronfler bien au chaud sous leurs couvertures. Du coup, sauf erreur de ma part, trois heures serait sans doute le laps de temps qu'on passerait à se regarder dans le blanc des yeux. Et comme on avait largement le temps de prendre dix-huit fois le thé, je décidai de m'asseoir en tailleur sur le sol de la cabine et de lui faire signe de m'imiter. "Tu seras mieux assis le temps que ça reparte." Puis lui tendis ma main. "Je m'appelle Hiro, enchanté, mais tu peux m'appeler Tony, comme tu préfères. Et toi? Tu dois bien avoir un prénom."

https://www.youtube.com/watch?v=y74UPiaK7u0

--

"Panique pas. Ça arrive ce genre de chose, ils vont débloquer l'ascenseur et on va pouvoir sortir.", avait-il répondu auprès de Nathan. Il était assez jeune peut-être faisait-il partie de L'UE, un nouveau arrivant de plus. Il avait un parfait accent Français cela voulait-il dire qu'il venait de loin, de Paris ou même d'un autre endroit ce qui était certain c'est que ce jeune-là venait d'un pays bien français. Ce genre de personne on le courage de traversée le monde entier afin d'atterrir ici après, cela dépend de l'objectif ou bien d'une certaine motivation. Puis celui-ci avait l'air plutôt posé et se fichait en aucun cas de Nathan. Autant s'en réjouir, il a l'air bien sympas, passionné et posé à la fois, vous savez? il est ce genre de personne sachant déstresser les autres. Ceci car sa voix était également très douce, tout ce qu'il y a de mieux afin de détendre un passager, la preuve. Il arrivait bien à détendre Nathan, même bloqué le jeune gardait son calme du moins il essayait fortement et cela semble marché.

"Tu seras mieux assis le temps que ça reparte" Lorsqu'il le vit s'installer à terre. Il était plutôt sur de lui, Nathan suivit aussitôt ses faits et gestes qu'allait le soulager d'ailleurs. Ce n'est pas la fin du monde, ça va bien redémarrer un moment puis des personnes remarqueront également. Nathan déposa ses béquilles sur le côté dans le but de ne pas déranger l'individu qui était au sol puis il essayât de se placer malgré son atèle qui lui faisait toujours garder la jambe tendue afin d'y avoir le moins de douleur possible, il ne peut la retirer. Dans ce petit espace cela est assez compliquer mais il tentât quand même après tout s'il devait se ridiculiser se serait qu'aux yeux d'une personne ce n'est donc pas si important mais s'il pouvait éviter ce serait le meilleur. Nathan se dirigeait en diagonale dans l'intention d'atterrir au sol lui aussi.

Désolé, j'ai un peu de mal avec ma..dit-il honteux tout de même.

Au moment ou l'inconnu se présentait alors.'Je m'appelle Hiro, enchanté, mais tu peux m'appeler Tony, comme tu préfères. Et toi? Tu dois bien avoir un prénom'Hiro, très beau prénom d'ailleurs. Tony même si cela n'avait pourtant aucun rapport en son prénom pensait-il et il me demandait de me présenter moi aussi, bien. Assez spécial comme rencontre, cela n'arrive qu'une fois dans une vie. Enfin.... de plus, il lui tendit la main afin de le lui serrer. Nathan se redressât aussitôt toujours debout et prit sa main.

Hiro, très bien. Et bien moi, Nathan ou Nat si tu veux et je te présente mes machins pointant du regard ses béquilles aussi , elles partagent ma vie depuis pas mal d'années . Oh et j'ai failli oublier la plus chiante, voila aussi la demoiselle d'atèle que tu peux distinguer. C'est bien la première qu'il se marrait de la situation, peut-être était les nerfs, de toute façon pourquoi s'en rendre malade autant rigoler. Et ce n'est pas prêt de finir

Bon, restons dans les délires et dans la bonne humeur, évitons de paniquer si vraiment ya un problème il y a une trappe juste au-dessus de nous mais. Attendons encore quelques minutes, Tu viens de France, Es-tu étudiant ? lui demandait-il

Lorsque Nathan fit observer son interlocuteur assez troublé par ses paroles. Qu'avait-il donc? Avait-il énoncé quelque chose de mal? C'est dingue comme son expression avait changé d'une seconde a l'autre, c'est obliger il n'y a pas d'autre raison apparente de plus qu'ils étaient deux. Nathan était fautif il ne savait pas en quoi mais quelque chose n'allait pas. Cet Hiro n'avait pas changé de tête pour rien puis il se dirigeât alors sans aucune raison apparente entre les jambes de Nathan. Il fait quoi là, puis Le brun aperçoit que celui-ci avait emprunté l'une de ses béquilles pour lui faire coucou. Oui, coucou en direction de son atèle, il faisait quoi là? il se fichait de lui? Cela semblait pas de mauvaise foi mais c'est, étrange de se comporter de cette façon puis le blond annonçât alors un mot en vrillant la béquille de droite à gauche.

"Enchanté mesdemoiselles!" Avait-il dit, On dirait qu'il parlait à un gosse. Nathan ne comprenait pas cette situation, Hiro se contentât alors d'un sourire forcé mais surtout d'incompréhension, sympas comme délire vraiment unique. Il annonçât aussi rapidement quelques information concernant son origine "Les gens le remarquent rarement, en général on me catégorise direct' comme asiat' -c'est pas faux non plus  j'ai envie de dire. Plus précisément, je viens de Toulouse, dans le sud. Je suis arrivé hier."

De nos jours, les gens sont vraiment. dit-il en soupirant, Pathétique finit-il.C'est vrai que celui-ci était typé asiatique mais jamais il n'aurait divulgué ce genre de mots. Enfin ce n'est pas parce qu'on aperçoit un type aux yeux bridé que c'est forcément un Chinois où je ne sais pas. Puis il parlait assez bien Français malgré son origine même si cela ne semblait pas avoir tant de rapport. Ce qui est sûr c'est qu'il était Français, la preuve Nathan avait vu juste. Celui-ci venait bien de la France afin d'étudier ici, dans cette université Enamor.

"Je ne m'attendais pas à être accueilli comme ça.." Ce jeune homme avait-il avoué. Qui aurait désiré une rencontre de la sorte sérieuse?.

Crois le ou non, je suis du même avis. dés lors qu'Hiro insérât alors. "Pour ne rien te cacher, je viens d'être accepté dans la fac avec un nom chelou. Enomar ou Enamor je sais plus trop.  Je dois me pointer à quatorze heures normalement, pour récupérer les clés de ma chambre tout ça tout ça,T'es à la fac aussi - l'université peu importe comment vous appelez ça- nan" Eh bien, il se peut qu'il ne soit sans doute pas à l'heure. J'espère qu'il sera tout de même accepté dans ces locaux, y a pas de raison avec une bonne excuse. Sur ce, Nathan faisait bel et bien parti de cette université ou fac.

Enamor rectifiait-il, J'espère pour toi que tu seras à l'heure et que les portes ne tarderont pas d'ouvrir. Me concernant, effectivement je suis également dans cette Université. Tu bosses dans quel domaine? Quelle est ta maison?