Enfin nous étions en week-end, on pouvait tous profiter de ces quelques jours de détente. On pouvait faire ce que l'on voulait, sortir, faire des soirées, peut être que certains rentres les week-ends chez eux, et puis il y a ceux qui vont en profiter pour faire les devoirs, s'avancer sur ceux là. Pour ma part, je resterais ici au Canada. Je n'avais pas besoin de rentrée chez enfin à Paris parce que j'ai un appartement ici. Aujourd'hui je n'avais pas vraiment été en cours, j'avais surtout passer ma journée dans la salle de stylisme. C'était vraiment une passion pour, j'étais né dans la mode, et je veux vraiment vivre de ce monde. En sortant de la salle, je passe devant le panneau d'affichage. Voilà une semaine que je suis ici et je n'ai pas dédaigné poser mon regard dessus. Je ne supporte pas vraiment qu'on se mêle de ma vie, alors me mêler de la vie des autres ce n'est pas mon truc.

Me voilà entrain de marcher dans les rues de Montréal en direction de mon appartement. Alors que j'attendais patiemment au passage piéton, un prospectus vient se coller à ma chaussure. Je secoue mon pied pour m'en défaire mais, il avait décidé de rester dessus. C'est alors que je me baisse pour le décrocher. Dessus je pouvais lire quelque chose :

Chers étudiants et étudiantes,
Il m’est venu l’idée hier soir dans la nuit de faire une petite soirée pour rapprocher tous les Universitaires de cette école. Je vous y propose des jeux pour rencontrer les autres étudiants ainsi que nourriture et boissons à volonté.
La soirée se déroulera à 19h dans un petit café que j’ai loué juste pour nous pour toute la soirée. J’ai bien hâte de vous y voir.
Bisous

A mon avis, c'était quelque chose qui devait rester dans les locaux du bâtiment, soit un étudiant la pris mais la perdu, soit la personne qui les a déposé en a perdu un... il y a plein d'hypothèse pour savoir pourquoi ce papier c’est posé sur mon pied. Je range le papier dans mon sac, je finirais de le lire une fois arrivé chez moi. Deux jeunes filles s'approchent de moi avec un large sourire et quelque cris d’hystérie. Même ici, je ne peux pas être tranquille. Elle me demande une photo et aussi de signer leur photo. Elle avait du les récupérer dans un magazine, ou sur internet puis je me remets en route.

Me voilà chez moi, je pose mes affaires et fais mes petites affaires dans l'appartement. Je repense que j'ai glissé un papier dans mon sac, j'en profite pour le relire de nouveau. Ce soir je n'ai rien à faire alors pourquoi ne pas en profiter pour y aller.

17h45, j'avais alors décidé d'aller à la petite soirée qui se passait dans un petit café de la ville. Pendant le temps qu'il restait, j'en profite pour me préparer. Une petite douche, ensuite j'enfile un tee-shirt blanc, un pull en grosse maille noir, un jeans bleu et une paire de chaussure noire. Je mets une veste en cuir noir par dessus. J'étais prêt, je regarde ma montre 18h40. Je marche dans les rues, il commençait à faire frais. 18h55, me voilà devant le lieu de la soirée.

Un homme me demande ma veste pour la mettre dans le vestiaire. Je lui donne volontiers et avance vers le reste du groupe qui se trouvait à l'intérieure. Je m'éloigne du monde, je n'ai tout simplement pas envie que l'on me reconnaisse de suite. Une jolie jeune femme s'approche de moi. Mes yeux se posent sur elle, blonde, un sourire dessiner sur son visage. Elle tient des menottes dans ses mains, et me le tend.

Si ça me branche ? Ouais pourquoi pas, je suis venu ici pour m'amuser. Alors d'un large sourire, je réponds à la demoiselle.

-Oui, alors tu m'attaches !

Avec un sourire joueur sur mon visage

La demoiselle dont je ne connaissais toujours pas le nom, avait une jolie bouille, elle avait de beau petit trait. C’était une belle blonde, assez attirante qui pourrait faire craquer plein de garçon. Quand on la regardait, on avait l’impression d’avoir deux personnes en une, une fille douce et de l’autre une fille avec pas mal de caractère. Assez mystérieux dirais-je. Toujours un sourire sur mon visage.

J’avais envie de jouer, de m’amuser surtout de prendre du bon temps. A mon avis j’allais surement en prendre du bon temps, face à moi j’avais quand même une jeune femme qui avait l’air d’être joueuse. Elle a tout de même pris le jeu des menottes, il y avait d’autre chose mais c’est qui l’a attiré. Au moins c’est une fille qui ose, qui ne reste pas dans son coin à attendre que tout se passe. C’est assez horrible d’avoir des personnes face à vous qui attende que tout se passe, qu’on leur fasse tout. J’avais l’habitude qu’on me fasse tout, mais je savais très bien me débrouillé tout seul. Ce n’est pas parce que je suis une célébrité que je dois forcement avoir une bonne, un majordome … je suis complètement autonome c’est grâce à ma gouvernante que j’avais étant enfant. Je lui dois beaucoup de chose à cette femme.

Elle se trouvait face à moi, les menottes toujours en main. Elle vient attacher ma main et fit pareil de son côté. Nous voilà à présent attacher tous les deux. Elle était vachement près de mon visage, elle pouvait sentir mon souffle et je pouvais aussi sentir le sien. Mes yeux parcouraient son visage, ils s’arrêtèrent sur ses lèvres. Elle avait un léger sourire sur ses lèvres, mes yeux remontent jusqu’au sien. Je voyais ses yeux, des yeux bleus. Nous avions tous deux les yeux bleus. Ses yeux étaient toujours plongés dans les miens, et je ne cherchais à éviter son regard au contraire. Elle chuchotait quelque mois.

- Oh, mais avec plaisir Dom Juan

Elle venait de m’appeler Dom Juan, c’était assez drôle tout de même. Toujours sourire aux lèvres. Apparemment le jeu de l’attache consistait à faire connaissance avec l’autre. C’était vraiment pas mal comme jeu, ça allait me permettre de faire de nouvelle connaissance. Ici à l’UE je ne connaissais personne, mais à Montréal si, mais des personnes du monde de la mode, des professionnels.

Elle décroche son regard de mes yeux et scrute ce qu’il se passe autour de nous. Mon regard fit de même, c’est vrai que tout le monde s’emblait ravi de jouer eux aussi. Rapidement mes yeux se reposent sur elle. Je ne connaissais toujours pas son nom et pourtant ça me démangeais de ne pas le savoir. Il fallait que j’attende encore quelque seconde avant de découvrir le prénom de la charmante demoiselle.

Un blanc venait de s’installer entre nous deux. La demoiselle avait le regard quelque peu insistant mais je ne disais rien, elle ne m’avait pas sauté dessus, donc son regard ne me dérangeait pas. Je dirige la charmante demoiselle vers un canapé, il n’y avait personne dessus. Il valait mieux que l’on soit assis pour faire connaissance que de rester debout. Ça pouvait durer longtemps.

- Il y a un nom qui accompagne ce joli visage

Un joli visage, elle cherche à me draguer ? Ça me fit sourire.

-Camille Harper, et la charmante demoiselle doit aussi avoir un prénom ?

Je souriais toujours, on pouvait apercevoir mes dents blanches. Mes yeux fixaient le visage de mon interlocutrice. Elle était vraiment ravissante.

Son sourire était toujours bel et bien présent sur son visage. Mais il était particulier, vous savez le genre de sourire que vous avez un peu bête et qui est pas spécialement facile à le faire partir. C'est souvent inconscient qu'il apparaît sur notre minois.

- Moi c’est Elizabeth Jordans…

Elle s'arrête un court instant, je me demande bien pourquoi sa phrase restait suspendu comme cela. J'allais bientôt le savoir, car la demoiselle Jordans repris la parole de nouveau.

- Enfin, Effy, tout le monde m’appelle Effy.

Mon regard scrutait le comportement de mon interlocutrice enfin maintenant je peux mettre un prénom sur un visage. A présent, je n'ai plus besoin de dire la demoiselle ou tout autre synonyme de ce type, maintenant je peux dire Effy. Effy avait l'air gênée, j'espère que ce n'était pas moi qui lui faisait cet effet. Pour tant au début, elle avait l'air d'une personne avec pas mal d'assurance, mais elle l'a perdu surtout quand j'ai dis mon nom et prénom. A mon avis, c'était moi qui l'avait rendu comme ça.

- Alors Camille Harper, tu me parles un peu de toi?

Parler de moi ? C'est pas souvent que l'on me demande de parler de moi, en général les journaux s'en chargeaient régulièrement. Mes yeux vinrent scruter autours de nous avant de se reposer sur la demois... enfin Effy.

-Appel moi plutôt Camille ou Cam, c'est toi qui choisis ce que tu préfères !

Il était bien que j'autorise quelqu'un à m'appeler Cam, c'était mon surnom. Pour qu'on m'appelle Cam, c'est qu'on me connait personnellement sinon j'appréciais pas. Les connaissances et les autres n'ont certainement pas le droit de m'appeler de cette manière, pour moi c'est un manque de respect, on ne se connait pas.

-Alors par quoi commencer.... Tout d'abord je suis Français, né il y a maintenant 22 Ans le lendemain de noël. Ma famille connait le monde de la mode depuis plusieurs générations. Je crois que j'avais pas le choix de devenir mannequin, c'était un peu logique que je marche sur des podiums. J'ai toujours vécu en France surtout à Paris, la ville de la mode.

Je marque une petite pose. Ma gorge commençait à se faire sèche, je verrais après avoir finis. J'en profiterais pour demander à Effy si elle aussi a soif.

-J'ai voyagé à travers le monde pour faire des défilés. J'ai pas eu l'enfance dont je rêvais, des parents absents au point qu'ils sont divorcés. Les journaux ont adoré cette histoire...

Les journaux sont que des rapaces, des vautours à la moindre opportunité ils sautent dessus. Au bout d'un moment c'est assez horrible et fatiguant. A cause d'eux mon sourire c'était un peu effacé. Bref, je vais casser l'ambiance avec ça. Je reviens sur Effy et reprend. Mon beau sourire est revenu se poster sur mon visage, fièrement.

-Et puis, je suis venu habiter ici. Montréal est une ville que j'apprécie vraiment, splendide l'hiver quand elle est enneigée. Je me suis spécialisé dans l'histoire et la géographie en plus du club de stylisme. Et toi la miss, parle moi de toi ? Si tu as des questions posent les, je t'y répondrais volontiers.

La demoiselle Effy gardait son sourire pendant que je lui parlais. Elle avait l’air de réellement m’écouter, en générale les filles sont toujours à mon écoute, mais là c’est c’était plutôt une écoute intéressé. Intéressé par ce que je disais. C’était vraiment agréable de tomber sur une personne comme elle, au moins j’allais passer une bonne soirée. Puis voilà le tour d’Effy de parler d’elle. J’écoutais attentivement ce qu’elle me dit.

- C’est vrai que Montréal est splendide. Hum… moi, il y a pas grand-chose de spécial à dire sur moi… Je suis née à Boston il y a de cela 20 ans et j’y ai habité seule avec ma mère pendant presque toute ma vie.
Je suis ici à l’Université depuis un peu plus d’un an. J’étudie en Arts. J’adore tout ce qui traite de l’Art, c’est vraiment ma passion, je crois, parce que c’est le seul moyen que je peux vraiment m’exprimer sans être jugée. Tu fais quoi exactement dans le stylisme?

Elle connaissait donc parfaitement l’université, elle y était depuis plus d’un an. A mon avis si je me perdais, je pourrais toujours lui demander mon chemin si je la croisais. Nous étions tous les deux dans un groupe assez artistique, elle l’art et moi le stylisme c’était d’une certaine manière de l’art.

Elle n’avait pas dit grand-chose sur elle, peut-être n’avait peut-elle pas envie de parler de son passé. J’allais respecter son choix, je n’allais pas entrée dans son intimité, je ne supportais pas que l’on s’occupe de mes affaires alors ce n’est pas pour le faire à mon tour. C’est surement pour cela qu’elle a rapidement changer de conversation.

-J’essaie de trouver des idées de vêtements, je ne suis pas spécialement doué de mes doigts pour le dessin mais en ce qui concerne la création de vêtement sur le mannequin c’est autre chose. J’essaie d’améliorer mes créations car j’aimerais plus tard devenir styliste, créer mes propres défilés. Et toi tu fais quoi comme art ? Il y a quand même pas mal de chose d’en l’art, on retrouve des peintres, des dessinateurs, photographes …

C’est vrai que l’art est un domaine assez vaste, il y avait pas de chose dedans. J’admirais les photographes et les dessinateurs surtout. C’était surement à cause de mon travail, dans la mode on côtoie surtout des photographes et un dessinateur, le créateur de la marque.

-À vrai dire c’est plutôt marrant parce que moi je suis bonne avec mes doigts. Tout ce qui traite au dessin et à la peinture c’est mon truc. J’aime surtout dessiner des personnes, j’adore tous les petits détails qu’il y a dans le corps humain. Côté photographie j’aime ça, mais je ne suis pas douée, on ne peut pas être bon en tout.


Elle était plus doué que moi en dessin, je pense que ça peut être pas mal. Pour le moment on avait l'air de bien s'entendre, d'être sur la même longueur d'onde. Il se pouvait qu'un jour, je lui demande si elle souhaite bien m'aider à réaliser mes croquis. En plus avec de la peinture surtout si elle utilise l'aquarelle, on pourrait avoir de magnifique croquis. On pourrait collaborer ensemble et faire de belle chose et bien avancer. Mais pour le moment ce n'est pas le sujet, je reviens vraiment à elle et continue de l'écouter toujours avec le sourire sur le visage. Pour mon idée, je verrais un peu plus tard.

Mon regard était toujours posé sur Effy. Elle avait de plus en plus à l'aise, c'était encore plus agréable. Même si elle gardait encore en elle un peu de gêne on ne la voyait plus. J'en avais même oublié les menottes que nous avions accroché à nos bras.

-J’aimerais bien voir tes créations si tu veux me les montrer bien sûr… je sais que des fois les gens préfèrent garder cela pour eux, mais tu vois, je suis curieuse.

Quelqu'un qui était intéressé à mes créations, c'était assez surprenant. Malgré que je sois surpris, j'en suis très ravie.

-Alors dans c'est cas là, il faut aller jusqu'à chez moi. Toutes mes créations sont dans mon appartement.

Alors que je tentais de me relever, je suis bloquer par quelque chose. Ma main me gênait, je baisse le regard pour voir se qui me bloque. Les menottes ! Je les avais complètement oublié. Mon regard se repose sur Effy.

-Tu aurais la clé, parce que pour se déplacer ça serait plus pratique !

Toujours en souriant, il était rare que je fasse la tête. Pendant les défilés, je ne souriais pas, mais nous étions obligés de faire la tête enfin d'avoir un visage neutre sans aucune expression. J'appréciais mon visage quand je souris surtout.

Elles doivent être sur la table

Elle se leva à son tour, et partit en direction de l’endroit de départ. C’était l’endroit où elle avait trouvé les menottes avant venir à ma rencontre. J’espérais qu’on allait les retrouver rapidement, pas que je n’apprécie pas sa compagnie mais parce que je ne voulais pas faire attendre la demoiselle qui avait l’envie de découvrir mes créations. Une personne qui s’intéresse vraiment à ce que je fais. En général j’avais le droit à : Ce n’est pas ton boulot ! Toi t’es qu’un mannequin… Tu ne seras jamais styliste, t’es pas assez doué de tes mains… toujours sur un ton assez désagréable. En même temps, c’est un monde très particulier qui n’est pas toujours très simple à côtoyer.

On marchait doucement histoire de ne pas tirer sur nos poignés. Nous avions quand même les mains attachés l’un à l’autre. C’était quand même un drôle de jeu, attacher les gens pour qu’il fasse connaissance. Ce n’était pas bien compliqué, je suis une personne de sociable, qui à la parole facile imaginé si vous tombez sur une personne très timide, sans aucune conversation c’est très ennuyeux et surtout le temps passe à une lenteur… inimaginable ! Elle regarde rapidement sur le dessus de la table pendant que mon regard se pose sur le sol autour de nous. Effy finit par se pencher en avant histoire de regarder si elles n’étaient pas tombées sur le sol, ça peut arriver. Elle finit par se redresser avec un papier entre ses mains. Je ne savais pas exactement ce qu’il y avait marqué sur celui-ci, j’allais bientôt le découvrir, il me fallait encore quelques secondes avant.

Effy se mit à rire aux éclats en lisant le morceau de papier qu’elle avait déplié. Elle se calme puis finit par se retourner vers moi afin de me montrer le papier qu’elle possédait.

Ah je vous ai eu, il n’y a pas de clef alors vous êtes mieux de faire bien connaissance mes chers enfants.

Mes yeux observent le document, je lisais dans ma tête mais inconsciemment j’en avais les lèvres qui bougeais comme si je lisais à voix haute mais sans aucun son qui ne sortait. La galère, je continuais de sourire, un sourire plus fort qu’au début, et je possédais un regard étonné. Etonné qu’on soit tombé sur des personnes aussi joueuses que cela. Ce n’était pas souvent que l’on pouvait tomber sur ce type de personne.

- On va bien s’amuser, je crois,

Mes yeux se reposent sur Effy qui venait de me parler avec la même voix qu’au début. Une voix joueuse et amusante à la fois. Son regard défiait.

– C’est sûr ! La soirée fait que de commencé !

Maintenant il fallait trouver un moyen de nous libérer afin de pouvoir continuer la soirée. On venait de se rencontrer dans un bar, on devait finir chez moi pour lui montrer mes créations. Il allait peut-être se passer autre chose, c’est le temps qui nous dira ce que l’on devra faire. Mais je dirais que ça me déplairais pas. Par contre il fallait attention si on sortait se ces lieux pour ne pas être remarqué. Quand je sors dans la rue, on me remarque toujours, on me reconnait alors si on me voyait attaché par des menottes avec une jeune femme, les journaux vont se faire un plaisir de raconter des ragots. « Nouvelle copine ? Où Copine de Jeu, notre Mannequin français jouerait à des jeux qui ne sont pas adaptés pour les enfants ! » Plein de titre qui tournerais autour de ce sujet. C’est pas que j’ai peur, si je n’étais pas célèbre ça ne me dérangerais pas, mais journalistes ne me pourchasseraient pas. Le problème d’être célèbre c’est que bien souvent votre famille l’est aussi, mon père est célèbre par le sang royale, ma mère par le mannequinat et puis moi par mes parents, mais aussi par le monde de la mode. C’est assez embêtant de finir régulièrement dans les journaux pour des idioties de ce type.

– Je pense qu’il y a une bouton pour les défaire… c’est surement pas des menottes qu’ont les forces de l’ordres ou là il faut vraiment une clé !

La suite du RP se trouve dans la catégorie Appartement.