PRENOM(S), NOM; Noah James Hoffmann
  SURNOM(S) ; Aucun son nom est trop court
  ÂGE ; 22 ans
  DATE & LIEU DE NAISSANCE ; 23 Juin 1993, Vancouver, Canada
  STATUT AMOUREUX; Célibataire
  ORIENTATION SEXUELLE ; Hétérosexuel
 ÉTUDES ; Marketing (communication/publicité)
  GROUPE ; aucun, il désir ce faire discret
  SIGNES DISTINCTIFS ; Quelques tatouages par-ci par-là
  VILAIN SECRET ? ; Il à fait parti d'un gang de rue pendant plusieurs années. Il à commit plusieurs crimes dont: vol, agressions, viols et un meurtre. Il fuit d'ailleurs ce gang ce qui là poussé à changer son identité.
  PERSONNALITÉ SUR TON AVATAR ; Jack Falahee
   

Quels sont tes pires défauts? Oula, alors des défauts j’en ai une tonne! Premièrement je dirais que je suis assez rancunier, je ne pardonne pas facilement. Viens pas me mettre des bâtons dans les roues sinon tu vas entendre parler de moi!  J’ai aussi tendance à frapper quand ça fait pas mon affaire! Bon, j’essaie de pas le faire trop souvent, mais quand je suis saoul… je me contrôle plus. Ah oh je frappe pas les dames hein! du moins, je le fais plus... Tu me fais pas chier, je te fais pas chier, c’est ma devise.  Après je suis un emmerdeur à mes heures, un connard aussi parfois. Je veux toujours avoir le dernier mot. J'ai aussi de la difficulté a faire confiance aux autres parce que je sais d'expérience de quoi ils sont capable... Je pourrais continuer pendant des heures mais je crois que c’est bon là, on a compris le principe.

Quelles sont tes qualités? Détrompez-vous, je suis pas qu’un emmerdeur, même si cela prône chez moi… j’ai aussi des qualités. Même si j’ai foutus la merde dans la vie de ma famille et que j’ai coupé tout contact avec eux, ils restent la chose que j’ai de plus précieuse au monde. Je remuerais ciel et terre pour les savoirs sain et sauf.  Je suis aussi studieux, je tiens à réussir dans la vie et avoir une bonne job pour me sortir de toutes les emmerdes que j’ai eu dans ma vie et pour rendre un jour mes parents fiers. Sarcastique, je ne sais pas si c’est un défaut ou une qualité mais je le classerais plus dans qualités. Parce que je suis pas sarcastique dans le genre vache, mais plus dans le sens drôle et cela fait bien rire les gens.

Quelle est ta plus grande phobie? Surement de retomber aussi bas que je l’étais il y a trois ans. Je suis encore dans le précipice mais j’en sors peu à peu, mais des rechutes ça arrive… Vais-je finir pas commettre un autre crime? Un meurtre? Un viol? Probablement, je veux dire on ne devient pas un ange du jour au lendemain, mais j’essaie. Parfois le manque d’adrénaline est trop grand et pour l’assoupir je fais un petit vol, je me saoule, mais rien de plus. Et ce dont j’ai le plus peur c’est de retombe dans ce cercle vicieux sans fin.

Quel est ton plus grand rêve? Redonner à mes parents tout ce qu’ils ont fait pour moi au travers des années. Je n’ai pas été un enfant facile et mes parents ils en ont souffert. Ils n’avaient rien fait pour mériter cela et moi je leur ai donné la totale.  Ah ouais et aussi finir par vivre une vie calme et sans problème.

As-tu des addictions? Ouais, malheureusement, les drogues mais surtout la coke. J’aime l’effet que ça procure immédiatement après en avoir pris. Je me sens libre, invincible et prêt à tout, lors des examens surtout c’est bien.  J’essaie vraiment fort de m’en sortir mais c’est plus difficile que l’on croit. Je vais avoir besoin de temps et surtout de l’aide pour y parvenir.

Crois-tu au grand amour? Personnellement je n’ai jamais été amoureux. Je n’ai eu que des relations simplement sexuelles ou des «one night stand». J’ai 22 ans et je n’ai jamais été amoureux, alors non je ne crois pas au grand amour. Vous me direz que je suis sans cœur? Peut-être mais me dévouer pour le restant de ma vie à une seule fille je ne sais pas si j’en serais capable. Mais bon après tout il n’y a que les fous qui ne changent pas d’idée.

Crois-tu au destin? Au destin? Pfff… c’est quoi cette histoire?

Tu te retrouves seul avec une fille enfermé dans une pièce pendant une journée entière comment réagiras-tu? Drôle de question… j’imagine que si elle est bien jolie je vais la draguer. J’ai l’habitude d’avoir ce que je veux surtout du côté fille, alors je vous laisse imaginer la suite.

Un dernier commentaire? Non, je crois pas, on ne va pas s’éterniser éternellement, j’ai des trucs à faire moi.

   

01. Quelle destination choisirais-tu ?

Las Vegas la démesurée.
Los Angeles la parfaite.
Miami la fêtarde.
Rock Springs l'authentique.

02. Si tu emmenais ta copine/ton copain en sortie, où iriez-vous ?

En boîte pour la/le pécho.
Au cimetière pour un oui-ja.
N'importe où, tant qu'on passe un bon moment.
Au bar pour passer une bonne soirée.

03. Si tu devais te réincarner en animal, lequel choisirais-tu ?

Le lion.
Le renard.
Le loup.
La panthère.

04. Quelqu'un se gaufre dans les escaliers, quelle est ta réaction ?

T'y restes indifférent.
Tu te marres et en prime, tu l'humilies comme il faut.
Tu accours, en mode superhéros.
Tu lui demandes s'il n'a rien et l'aides à se relever.

05. Comment te vois-tu dans 10 ans ?

Avec une famille, au calme.
Plein aux as.
Ayant tout réussi, et pourquoi pas célèbre.
Tranquille, avec un p'tit job, rien de luxueux, mais sans emmerdes.

06. Lequel de ses déguisements te conviendrait le plus pour Halloween ?

Les mariés fantômes.
La licorne déjantée.
Le vampire sombre et sexy.
Le redoutable pirate.

07.
Comment te sens-tu au milieu d'un groupe d'inconnus ?

Tu essaies de repérer le/la plus canon dans le lot.
Tu fais à peine attention à ceux qui t'entourent, il ne t'intéressent pas vraiment.
Tu essaies de t'imposer et de discuter avec tout le monde.
Tu essaies de parler avec les gens qui se semblent les plus abordables.

08. Quel élément te correspond le mieux ?

Eau.
Air.
Terre.
Feu.

09. S'il te restait un seul jour à vivre, que ferais-tu de ta journée ?

Tu écrirais un long article pour dénoncer à S tous les petits potins que t'as entendu et que t'avais promis de garder secrets.
Tu claquerais tout ton argent dans les putes et la coke.
Tu donnerais tous tes biens à des associations.
Tu passerais tes dernières heures avec tes proches.

10. Selon toi, quelle qualité est indispensable chez un ami ?

L'humour.
La sincérité.
La loyauté.
L'ouverture d'esprit.

   

La majorité des êtres humains dans le monde sont des victimes. Ils sont souvent victime des autres, de la vie ou d’eux même. Il n’y a qu’un petit pourcentage qui ne sont pas des victimes, et c’est à cause d’eux que les victimes existent. Moi, Noah James Hoffmann je fais partis de cette minorité.

Je suis né le 23 juin sous le nom de Matthew Hoffmann à Vancouver, au cœur même de la ville. J’étais le seul et unique enfant de mes parents. Ma mère Johanna Abella, d’origine Italienne était maitresse d’école et mon père James Hoffmann d’origine suédoise était notaire. Alors vous pourrez constater que je venais d’une famille de classe moyenne, aucunement dans le besoin et j’avais tout pour devenir un jeune garçon gentil et parfait, mais j’en avais décidé autrement. Déjà dès mon plus jeune âge j’avais cette vilaine tendance à me battre dans la cours d’école sans raison valable et cela valait plusieurs coups de fils à mes parents qui bien évidemment me grondaient une fois de retour à la maison.  

Lorsque je suis entré au Secondaire à l’âge de treize ans, mon attitude d’enfant rebelle n’avait qu’augmenté. Je me retrouvais souvent dans le bureau du directeur pour avoir soit triché lors d’un examen, voler des biens de l’établissement ou des autres et toujours et encore me battre. Cela me valut alors que j’avais quinze ans un renvoi de l’école. Évidemment, je ne pouvais pas rester sans éducation mais en attendant de trouver une autre école qui voudrait bien de moi, je pris l’habitude de flâner dans des parcs. J’y rencontrai un mec, de quelques années mon ainé. Il me présenta à sa gagne d’amis et de la, tout partit en vrille. Ce que je ne savais pas à l’époque c’était que cette gagne-là, c’était un gang de rue. Oui, oui, des gangs de rues qui sont dans le domaine de la drogue, le crime, la violence, le pouvoir.
Lors de mon initiation qui dura un mois, le temps qu’il fallut à mes parents pour me trouver une nouvelle école, je commis quelques petits crimes mineurs comme le vol et la revente de drogue, sur laquelle j’étais d’ailleurs.  Une semaine après mon retour à l’école, je faisais officiellement parti des Blues, gang de rue.  Je n’avais aucun intérêt à aller à l’école, mais je devais tout de même garde une bonne moyenne générale pour de pas mettre la puce à l’oreille à mes parents.  

Un an plus tard, je m’étais fait une assez bonne réputation auprès des autres. Je gérais les plus jeunes et commettais de plus en plus de crimes majeurs.  Même que pour faire mes preuves et me rendre encore plus haut, j’avais un soir violé une jeune fille et l’avais ensuite tabassée presque jusqu’à la mort. Je n’étais vraiment pas beau à voir, toujours sous l’effet de la drogue, enragée et en manque d’adrénaline, je faisais crimes après crimes et j’en redemandais toujours plus.  Alors quand je vous dis que je ne suis pas une victime dans toute cette histoire, vous en avez la preuve. J’avais choisi cette vie et j’en étais fier.

Mais il arrive un temps où nous touchons le fond, et lorsque c’est fait, nous n’avons plus d’autre choix que de remonter. Mon fond à moi il s’est passé alors que j’avais dix-huit ans. J’étais devenu un grand atout des Blues et ils ne pouvaient plus se passer de moi. On m’avait donné comme contrat de liquider une junkie qui refusait de payer son dealer puisqu’elle n’avait plus un sous. Dans ce cas-là, la première étape était de foutre la trouille à la personne en question, la deuxième, de le faire souffrir et la troisième la mort.  Cette fille était déjà passée à la troisième étape et c’était moi qui devais être en charge de le faire. C’était la première fois que j’allais tuer quelqu’un et j’en avais la trouille. Mais avec une cagoule sur la tête, on arrivait à tout. Je m’étais alors rendu au taudis de la demoiselle en question, j’avais entré par effraction et armé d’un couteau je l’avais d’abord menacé. Mais refusant toujours de payer et disant qu’elle n’avait pas les moyens j’avais pris mon courage à deux main et l’avait poignardé un total de cinq fois jusqu’à ce qu’il n’y ait plus qu’un corps sans vie. Fier de mon coup, j’allais quitter le logement lorsqu’un son avait retenu mon attention. J’avais fait le tour du minuscule appartement en cherchant d’où provenait le bruit. J’avais trouvé une porte et derrière celle-ci une chambre. Il n’y avait qu’un petit lit où une fillette de trois ans environ me regardait avec de grands yeux. J’étais resté là quelques secondes figé net devant la fillette et puis j’étais parti le plus vite possible laissant la petite, orpheline. Le lendemain j’avais vu l’histoire dans les journaux et la culpabilité avait décidé de montrer le bout de son nez.  Depuis cette soirée-là, je m’étais fait moins présent auprès des Blues et cela m’avait valu quelques raclées. Le visage de la fillette hantait mes rêves et me tourmentait le jour. Je prenais de plus en plus de coke et toutes les autres sortes de drogues pour oublier et j’avais de plus en plus l’air d’un zombie. Je voulais quitter les Blues, je ne voulais plus être associé à eux. Seulement, une fois dans le gang, c’est pour la vie et ça, c’était quelque chose que j’ignorais. Si je refusais de faire ce qu’ils attendaient de moi, ils me menaçaient et ils avaient même été jusqu’à menacé mes parents. Je devais mettre fin à tout cela et au plus vite.

À l’aube de mes dix-neuf ans, je pris une décision qui allait déchirer mes parents; fuir. Je fis un sac et pris le premier vol. Puisque j’avais déjà un dossier criminel, je ne pouvais pas quitter le Canada et l’endroit le plus loin de Vancouver était Montréal. Durant l’année qui suivit, je changeai de nom pour Noah James Hoffmann, je pris une petite job pour pouvoir me payer un appartement et je continuai à aller à l’école, toutefois toujours sous l’influence de la drogue même si j’essayais de diminuer cela un peu. J’avais aussi coupé tout contact avec ma famille pour les protéger.

Lorsque j’us vingt ans, je rentrai à l’Université Enamor en marketing. J’aimais bien cela. J’avais un peu oublié ma vie d’avant même si j’avais toujours des cauchemars et la peur qu’on me retrouve était toujours présente. Maintenant, j’en étais au milieu de ma deuxième année d’étude, je restais le garçon rebelle qui se bagarrait quelques fois dans les bars lorsqu’il avait trop bu mais sans plus, je ne voulais surtout pas attirer l’attention de la police sur moi.