Ludovic venait d'arrivée à l'Ue, l'est vrai qu'il ne connaissait aps encore parfaitement les lieux quoiqu'il regardât énormément sur le site internet, la visite virtuelle, manque de pot il n'avait pas présenté les couloirs des chambres, filles/Garçon. De toute façon, là c'est tellement propre qu'il s'agissait obligatoirement des chambres des hommes. Puis il l'aurait remarqué sans doute s'il s'était gouré. Ou pas, il l'avait demandé à quelqu'un où se diriger à ce moment et un inconnu lui avait donc annoncé de prendre cette direction le voilà maintenant devant la porte de sa chambre. Il était seul, tant mieux il pouvait alors visiter toute la pièce. Il déposa la main sur la poigner puis entrât.

Une fois a l'intérieur, personne donc. il posa ses affaires sur le fauteuil et observât les lieux quelques instants, c'était grand et propre. Vraiment très bien soigné, il se dirigeât vers la cuisine, puis revenait au salon. Soudain, un bruit d'eau se fit entendu, comme une douche. C'était peut-être son camarade de chambre. Il ne le connaissait pas encore, le bruit d'eau se coupât enfin, il attendit impatiemment de se présenter auprès de cet individu, il se retournât un moment dans le but d'admirer la vue de haut, le plafond était aussi beau que le sol.

Ludovic rebaissa la tête aussitôt quand il vit une ombre en sa direction, il vit un pied puis deux. puis le corps, assez beau d'ailleurs quoiqu'il soit accompagné d'une serviette et...! et sa tête, c'était une fille! une belle fille. Mais là, ce n'est pas le top pour une première approche! Elle ne semble pas encore réalisée ce qui vient de se réaliser.

Ahh! criât-il tel un vrai trouillard, il lui en faut peut afin de paniquer. Mettons, nous à sa place, il ne s'y attendait pas du tout. Pardon! pardon! pardon! je croyais que c'était ma chambre! s'empressait-il d'ajouter, comment allait-elle réagir. Il resta là, planter comme un idiot devant elle, si elle lui disait de partir ce serait compliquer de le convaincre, de plus qu'il ne serait où va...

Les cours sont chiants ces temps-ci et avec leur bal de noël à la cxn, les profs ne savent plus ou donner de la tête et deviennent insupportable. Encore plus que d’habitude. Pour me détendre j’ai besoin de musique, de mon violoncelle, j’en ai besoin pour me détendre et m’isoler. Je n’aime pas l’ambiance de l’université, il y a, à mon gout, trop de monde. Je ne supporte pas tout ça, les gens me dégoute ils sont stupides. Je préfère de loin la compagnies des instruments, car eux ils font du sons que si on leur demande.

Je me laisse envahir du doux son de mon violoncelle durant une bonne heure. Personne, personne pour me déranger, parfait. Après avoir fait glissé mon archet sur l’une des cordes une nouvelle fois. Je stop toutes les vibrations ainsi plus aucune note ne sort. Je range mon instrument, et pars perdre une douche, j’ouvre avant cela la fenêtre histoire de ne pas à avoir toute l’humidité stocké dans ma chambre.

Je laisse l’eau chaude couler le long de ma peau, j’en profite pour laver mes cheveux, j’aime bien avoir les avoir propres et légers, c’est agréable. Je m’essuie un maximum, j’enroule une serviette autour de ma poitrine, celle-ci m’arrive au dessus des genoux suffisamment courte mais pas assez pour qu’elle soit à raz-le cul. C’est plus un drap de bain dans ce cas.

Bref je prends avec moi ma petite enceinte qui heureusement pour moi résiste à l’humidité. J’ouvre la porte qui relis la salle de bain à la chambre. J’éteins ma musique et jette doucement le petit appareil sur mon lit. Je relève la tête et SURPRISE ! Un mec planté dans ma chambre reste me fixé comme si c’était la première fois qu’il voyait une fille de sa vie.

-Ahh ! Pardon ! Pardon ! Pardon! Je croyais que c'était ma chambre !

Je regarde le gars un sourcil relevé, j’aimerai bien savoir ce qu’il fait ici, comment il a put se louper de chambre ? Je pose une main sur ma taille et le fixe d’un neutre limite à en faire froid dans le dos. Je ne bouge pas et ne dis rien. Beaucoup de fille se serai mise à hurler, personnellement je me contente de regarder cet énergumène s’énerver tout seul.

-Va falloir trouver une meilleure excuse.

Me contente ai-je de dire. Je n’aime pas parler, et lorsque je l’ouvre je préfère aller à l’essentiel histoire de ne pas perdre de temps avec des gens stupides. Comment aurait-il put se louper de chambre ? Il y a marqué en énorme « DORTOIRS FILLES » à l’entrée du couloir. Je continue de regarde le gars.

-Ça n’a pas l’air de te déranger plus que ça à se que je vois.

Oui j’avoue je la joue soft, je crois que je suis encore prise par la musique de tout à l’heure. Ouais on va dire que c’est ça. Je le regarde, en effet même pas il se bouge.

"Va falloir trouver une meilleure excuse." avait-elle dit d'un ton froid. Sérieusement, pour qui elle se prend celle-là, d'abord je n'avais pas fait exprès 'atterrir ici. Certes, il s'en était réjoui quelques instants en la voyant. Comme un rêve, enfin faut pas non plus exagérer, y a mieux mais y a pire mais c'est vrai qu'elle avait plutôt l'air d'être bien foutue. Il continua alors à la regarder de haut en bas et pourquoi pas, marché dans son jeu puis il ne méritait pas qu'on le traite de la sorte, y a DES LIMITES, faut pas non plus abuser.

Ouais en fait j'avais juste envie de mater un beau cul, je t'avoue que tu es plutôt mon style! . dit-il d'un sourire dragueur. Dans le fond, heureusement qu'il était atterri dans cette chambre, imaginons que ce soit celle d'un gars, quoi que. Bref, c'est bon ce n'est pas un drame puis ce n'est pas comme-ci elle était toute nue. Même s'il espérait assez que la serviette dérape.

"Ça n’a pas l’air de te déranger plus que ça à se que je vois. " Encaissait-elle, elle avait pas tord.

Pas faux! Tu es une jolie fille, j'aime relooker les belles formes. dit-il continuant de la fixer, des beaux cheveux, un beau corps puis, surement une belle poitrine la dessous pensait-il. Tes jambes sont a tombéééééééé, s'exclamât-il en se glissant sur le canapé comme-ci il était chez lui. tranquille, STOP! ce n'est pas ce que vous croyez, il n'a pas du tout ce genre d'esprit mais là, autant rire de la situation.

Moi, c'est Ludovic. Et faudra également trouvé une bonne excuse afin de me convaincre de partir d'ici, Surtout qu'il ne sait où est sa chambre! il avait même pas demandé le numéro, tout le monde roupille à cette heure-là, si elle le mettait dehors, il dormirait par terre. COOL.

-Ouais en fait j'avais juste envie de mater un beau cul, je t'avoue que tu es plutôt mon style! Pas faux! Tu es une jolie fille, j'aime relooker les belles formes. Tes jambes sont a tombéééééééées.

Étrange bonhomme celui-là. Je le regarde les sourcils froncés, je ne sais pas ce qu’il lui passe par la tête. Je m’assois sur mon lit et regarde le jeune homme. C’est spécial tout ça et ce gars m’amuse, vraiment je pense que l’on va bien rire à ce rythme. Je pose le bout de mon pouce sur mes lèvres comme à mon habitudes lorsque quelque chose ou la situation m’intéresse.
Un sourire en coin éclaire mon visage.

Je m’approche de mon placard, me penche pour attrapé mes fringues. Je me dirige ensuite vers la salle de bain ou je ferme la porte d’un coup de main. Celle-ci claque doucement puis s’ouvre moins d’une minutes après. Je sors habillée sobrement. Et non mon gars je ne te ferai pas ce plaisir. Je le regarde assit dans le canapé. Quand à moi je m’assoie sur ma chaise de bureau.

-Moi, c'est Ludovic. Et faudra également trouvé une bonne excuse afin de me convaincre de partir d’ici.

Je soupire doucement, il ne doit pas avoir grand chose à faire de sa vie pour squatter ici. Disons que je n’aime pas parler et je ne compte pas lui taper la discute durant deux heures si c’est pour parler de la pluie et du beau temps. Non merci, je préfère glander tranquille ou aller voir et fumer dans le bar du coin. Néanmoins c’est plutôt une situation intéressante et j’avoue que ça m’amuse.

-Je ne t’oblige pas à partir, tu peux rester si ça te fais plaisir.

Qu’il parte ou qu’il reste n’en tiens qu’à lui, je ne le forcerai à rien. Et de mon côté son choix ne m’importe pas grand chose. Je tourne d’un côté puis de l’autre avec ma chaise. J’ai bien envie de voir ce qu’il va me sortir après ce qu’il me dit depuis tout a l’heure.

-C’est vrai que des filles presque nue tu ne dois pas en voir souvent, je suppose que c’est pour ça que tu en profite pour te rincer l’oeil…

Je lui envoie des piques sans pour autant qu’il y est un brin de méchanceté dans ma voix, juste un peu de provocation.

-Je m’appelle Drew.

-Bien! Alors c'est cool.

Il est content, il fait son petit tour fouille dans les affaires, il est content. Je le regarde d’un air je m’en foutiste comme à mon habitude, l’air neutre. Comme si aucune pensées ne venait à moi, le regard presque vide. On peut juste percevoir un simple brin d’amusement au fond de mon regard. Ce gars m’exaspère vraiment, je ne sais pas ce qu’il vient faire ici, ni ce qu’il compte faire mais sincèrement ça fait un moment que quelque chose d’aussi intéressant ne s’était pas passé.

-Bah en même temps je n'ai jamais vraiment trouvé les endroits pro pis. là, c'est parce que c'était une erreur, une Merveiileuse erreur d'ailleurs. Dit-il se passant la main dans ses cheveux .

Ceci explique bien des choses. Je le regarde silencieuse, les yeux plongée dans le sien, une erreur merveilleuse dit-il ? Laisse moi rire, il n’y a aucune assurance dans ce qu’il dit. Je dirai limite il tremble, le pauvre choupinou. Non en vrai il est vraiment comique. Je continue de l’observer avec mon sourire en coin, qui paraitre insolent et insupportable pour certain et drôle pour d’autre. Ça dépend de la mentalités des gens, mais c’est toujours amusant de voir leur comportement.

-Même vêtis tu es magnifique, tes cheveux bouclés et tout. Parfait! T'as pas des Chips? Saveur Barbecue de préférence.

Oh c’est trop mignon un petit compliment, je ne sais pas comment je dois le prendre, sincère ou non ? On va dire qu’il l’est car depuis tout à l’heure il me lance des fleurs. Je finis par me lever de ma chaise, je marche jusqu’à Ludovic, je m’approche près, très près. Je le regarde toujours dans les yeux avant de m’adresser à lui :

-À force de t’entendre parlé de cette façon, j’ai l’impression que tu t’invente une vie. Autrement dit tu n’es pas comme ça d’ordinaire au niveau du caractère.

Je lui fais un sourire avant de me tourner et d’avancer vers la fenêtre toujours ouverte, j’enlève le gilet que j’avais mis aillant peur de d’avoir froid. Mais bon j’aurai du prévoir que ça allait être le contraire. Donc oui on est en hiver et oui je me mets en débardeur. Non je ne veux pas jouer les allumeuse, ce n’est pas vraiment dans mon caractère de l’être je suis plus la fille bizarre qui fait flipper tout le monde et qui reste seule à longueur de journée. Ça me vas parfaitement.

-Oh pour répondre à ta question, non je n’ai pas de chips, j’ai pas envie de pourrir mes instruments.

-Drew? Très bien. Ludovic pour ma part. Ravis de te connaître! Dis, je peux dormir ici cette nuit? Ou tu veux, même par terre ça me convient c'est qu'en fait j'ai un gros souci de chambre! Comme tu as surement pu le remarquer!

J’écarquille les yeux étonnée. Sans blague ? Il veut pioncer ici ? Il est shooté ou ça se passe comment ? Ou alors il a vraiment, vraiment pas de vie. Je ne sais pas trop comment le prendre. Je pouffe de rire, il est excellent ce gars. Je le regarde et m’appuie contre ma fenêtre ouverte, ou plutôt contre le bord de la fenêtre.

-Tu peux dormir dans les chiottes si tu veux, ou alors je peux t’accompagner à ta chambre.

J’y crois pas, je n’en reviens pas moi même d’avoir dis ça. Mais là j’avoue que je me marre vraiment. J’ai du mal à cerner son caractère, je dirais qu’il est un peu faux mais pas sur certain point.

-Oh faite tu fais quelles études ?

Cela me permettra peut être de comprendre un poil plus ce qu’il lui passe par la tête à ce bonhomme.

Ludovic continuait de la regarder, elle semblait s'en fiche complètement, peut-être n'était-il pas de son genre? ou alors, elle le cachait et ne veut qu'il le remarque. C'est vrai que ce n'est pas la meilleure approche du monde. Certes Ludovic en était tout de même heureux et devait immortaliser ce moment, ce phénomène, cette chance de la vie. Quand celle-ci se mit à sourire lorsqu'elle le remarquât en train de fouillé tous les recoins de cette salle, en réalité elle était encore plus belle quand elle souriait. Au moins, il réussit à la divertir.

Soudain, cette blonde au regard épinglant s'approchait de plus en plus auprès du jeune homme, maintenant. Sa bouche tout juste à quelques centimètres de ses propres lèvres à lui. Malheureusement, il se mit à rougir, merde. Puis elle ouvrit la bouche afin de le lui faire entendre.

"À force de t’entendre parlé de cette façon, j’ai l’impression que tu t’invente une vie. Autrement dit tu n’es pas comme ça d’ordinaire au niveau du caractère." BAM tiens Ludo, prends ça dans ta gueule. Elle n'avait peut-être pas tort, après tout ceci est son caractère, il ne faisait probablement pas attention à ses faits et gestes. Il répéta cette phrase à plusieurs reprises dans sa tête "j’ai l’impression que tu t’inventes une vie". C'est vrai que ce genre d'information avait tendance à le recaler mais aussi très vexante, Il ne fallait surtout pas qu'il montre cette faiblesse, il est plutôt le genre de mec à cacher ses émotions enfin, essayé. Cette "gentille" Drew se contentât d'un sourire, assez... forcer.


"Tu peux dormir dans les chiottes si tu veux, ou alors je peux t’accompagner à ta chambre. "

Crois-le ou non, jamais je n'aurais voulu dormir avec une fille aussi belle que toi, sur ça ne te fait pas de soucis annonçât-il soupirant. Cela devient totallement illogique. Ce n'est rien, seulement qu'elle l'avait vexé a deux reprises maintenant, il devenait assez bête dans ce genre de situation.

De plus, je ne peux demander la clé de ma chambre de suite, sinon. Je serais parti depuis longtemps. Avait-il encaissée. Dans les toilettes avait-il dit? elle est sérieuse. Ludovic aurait pensé qu'elle lui aurait proposé le canapé ou bien prés de son lit avec une couverture, en aucun cas il n'aurait imaginé dormir dans les toilettes! Elle le détestait à ce point.?, Il leva les sourcillé intrigué.

Tu me fais marché là, t'es pas sérieuse? va y! prêtes moi ton LIT. Autant allez dans les couloirs pensait-il, si elle ne changeait pas d'avis. Il y serait beaucoup mieux, en revanche si cette fille aurait un jour un gros problème quel que soit et besoin d'aide, elle pouvait l'oublier aussitôt. Quoi que.

-Crois-le ou non, jamais je n'aurais voulu dormir avec une fille aussi belle que toi, sur ça ne te fait pas de soucis.

Je ne sais pas vraiment comment le prendre, je fronce les sourcils sans pour autant quitter mon petit sourire en coin. Est-ce que je dois le prendre dans le bon sens c’est à dire qu’il à trop de respect ou bien il se fout de ma gueule depuis le début et dans ce cas je pourrais me sentir bien ridicule ? Malheureusement si c’est la seconde option et bien c’est un énorme rail étant donné que quoi qu’il en soit je m’en bats les steaks.

Il ne me semble pas très logique dans sa tête celui-là, il se contre-dit facilement. Se qu’il raconte en devient même stupide mais j’irai presque jusqu’à dire que c’en ai mignon. On pourrait presque le comparer à un mioche de 2 ans qui commence à parler. Ouais non, mauvais exemple et puis j’aime pas les gosses. J’aime pas non plus les vieux, c’est casse-pieds, ça radote et râle pour rien. Les gens en général sont chiants. Mais j’aime bien cette université, les gens sont intéressants. À croire qu’il on pris tous les spécimen les plus particuliers et les ont enfermé ici, avec une folle dingue qui les contrôle. Le scénario est parfait on pourrai en faire un film.

Je verrai mes histoires de film plus tard. J’ai un sacré problème dans ma chambre, mais le virer serai trop facile et pas amusant. Ça m’amuse de le cuisiner mais il perd en crédibilité et le sens de sa logique. Je ne sais pas trop que faire de lui. Au final, je n’aurai finalement pas perdu ma soirée.

-De plus, je ne peux demander la clé de ma chambre de suite, sinon. Je serais parti depuis longtemps.

Pas faux, donc encore une raison pour laquelle il ne peut pas retourner dans sa chambre. Tant pis, je lui ai proposé les toilettes, libre à lui de vouloir ou non. Je ne fais pas la charité, je ne suis pas non plus un refuge pour sans-abris, il se démerde le ptit père, si il faut il dort par terre dans le couloir. Je le regarde toujours aussi amusée.

-Tu me fais marché là, t'es pas sérieuse? va y! Prêtes moi ton lit.

Et bien le voilà outré de ma proposition, je suis pourtant tout ce qu’il y a de plus sérieuse. Cependant je ne peux pas m’empêcher de pouffer de rire. Si il voyait sa tête, non vraiment cette rencontre est excellente. J’affiche un grand sourire. Je ne peux pas vraiment répondre à ça mais vraiment c’est un comique celui là.

-Tu veux que je te file mon lit ? Tu crois que j’ai une tête à le prêter à n’importe qui ? Déjà que je te propose de rester dans la chambre, tu devrais être ravie...

Hum, hum...Vraiment mon lit c’est un peu ma deuxième maison, je l’affectionne tout particulièrement. Je m’avance vers lui d’un pas tranquille. Je ne sais pas si il est naturellement ainsi ou bien il a fumé ou bus quelque chose mais il est pas mal dans son genre celui-là. J’espère qu’il était pas sérieux quand il a demandé mon lit.

-Si tu veux pioncer dans un lit, va falloir soit que tu te tape l’incruste ou me dégager ou alors tu prends celui de ma coloc’ mais tu t’arrange avec elle.

Je lève les yeux vers lui après avoir jeté un oeil vers le côté de chambre de ma coloc’.

-Fais pas cette tête, c’est déjà cool que je te propose les toilette. J’aurai pus te proposer de dormir dehors sur le balcon. Franchement je suis trop généreuse...

Lui dis-je ironiquement. Je dis sur le balcon, mais on peut pas vraiment le considérer comme tel.

Ludovic n'avait toujours pas réalité l'idiotie de ce qu'il venait d'avouer juste avant. Qu'il pouvait être incompréhensible parfois même envers lui-même. Des fois il se faisait des films, il est peut-être parano ce gars-là. Il vit cette fille d'un air interrogateur, tu m'étonnes pensait-il, elle ne devait rien comprendre à ce qui se passait la pauvre, c'est surement les nerfs. Le stress et l'émotion qui lui faisait citer du n'importe quoi. De plus; elle lui souriait donc. Cela voulait dire qu'elle se fichait complètement de sa gueule, sur son visage on pouvait même distinguer une sorte de phrase tellement agréable comme " sale con, tu t'enfonces grave retourne dans l'pays d'où tu viens, tu m'casse les ** ". Oui, oui. Elle laissait paraître cette expression, mais Ludovic n'allait laisser faire, il allait se battre jusqu'au bout.

Quoi,? Pourquoi ce regard si... je ne sais pas. lui demandât-il alors, Quand celle-ci continua a répondre.

"Tu veux que je te file mon lit ? Tu crois que j’ai une tête à le prêter à n’importe qui ? Déjà que je te propose de rester dans la chambre, tu devrais être ravie..." Que pouvait-elle s'imaginer, il n'allait rien se passer de toute façon. Mais bon c'est vrai qu'elle ne le connaissait pas encore alors elle avait raison de se méfier, mais lui n'est pas un gars malhonnête, joueur et débile par moments c'est tout. En aucun cas elle lui avait proposé de rester dans la chambre oh ça oui, il s'en souvenait comme si c'était hier. Même si cela faisait dix minutes à peine, celle-ci lui avait proposé les chiottes.

Alllléééézzz Drrrreeewwww ,avait-il insisté. Ludovic il ne faut pas que tu dormes par terre, il allait alors mettre toutes les chances de son côté, il retirât aussitôt son tee-shirt, c'est vrai qu'il était bien foutu. Elle ne pourra pas par résister. Vraiment, vraiment pas par terre, pas dans les chiottes et dans les couloirs? Il n'ose pas imaginer la flippe qu'il pourrait avoir, dans la noire personne et la longueur à perte de vue. En plus je suis trop beau, tu peux pas refuser! Annonçât-il s'approchant auprès d'elle.

"Fais pas cette tête, c’est déjà cool que je te propose les toilette. J’aurai pus te proposer de dormir dehors sur le balcon. Franchement je suis trop généreuse..." Avait-elle avouée. Ludovic ne supportait pas la solitude, être seul depuis le coup de feu. Quand il est seul, il réalise a quel point le danger. être seul pour lui signifier tout act de danger, de proie alors, c'est compliqué.

Je peux rester dans ta chambre, mets un drap par terre si tu veux et je dormirais, mais je t'en prie pas dans les toilettes! En plus dans l'autre chambre,qui était d'ailleurs éteinte, il fait trop noir ajoutât-il, sachant que Drew allait bien évidemment éteindre sa la lumière de sa chambre elle aussi. Rien à y faire, cette fille n'était pas comme les autres. Certes elle était peut-être dure mais le courant passait, il s'approchât davantage en direction de son visage. La bouche entre ouvrir afin d'y chuchoter un mot prés de son oreille. Il ferma alors les yeux quelques secondes, une larme fut apparu. L'émotion lui prenait, la peur était désormais présente, s'imaginer qu'il allait dormir seul était pour lui un cauchemar et lui demanda alors, S'il te plaît.

Alllléééézzz Drrrreeewwww.

Tss, il m’exaspère, si il veut rainent pioncer ici va falloir le prouver mon gars. Je le regarde retirer son tee-shirt, manque plus que le pantalon et pouf parer pour dormir. Mais à le regarder j’ai plus l’impression qu’il est trop coincé pour aller plus loin. C’est un sourire sadique qui vint s’installer sur mon visage neutre. Je le fixe dans les yeux sans laisser ne serai-ce qu’un semblant d’émotion me traverser.

-Donc ? Tu compte te dessaper entièrement ou c’est trop demander ?

Tu peux toujours t’approcher mon vieux, tu m’auras pas comme ça. Je le regarde avec un air de défis.


-En plus je suis trop beau, tu peux pas refuser!

Et bien manquait plus que ça, ça va les chevilles ? J’hausse les sourcils, je ne sais pas si je dois pleurer ou d’exaspération ou rire parce que c’est vraiment un drôle ce bonhomme. Je ne sais pas que faire de lui, j’ai vraiment envie de l’emmerder mais pas trop parce qu’il me fait de a peine a force. Ah mais attends voir, j’aime pas la pitié. Problème réglé je vais l’embêter.

-C’est ce qu’on dit…

Je le regarde de haut en bas d’un air insistant d’un air répugné mais quand même avec une pointe d'ironie. Je ne le pense pas vraiment mais j’ai bien envie de l’embêter jusqu’au bout. Après tout je ne le connais pas donc tant pis pour le reste. Je regarde de près, de toute façon je ne peux regarder que lui étant donné qu’il prend toute la place de ma vision, tant il est près.

-Je peux rester dans ta chambre, mets un drap par terre si tu veux et je dormirais, mais je t'en prie pas dans les toilettes! En plus dans l'autre chambre, il fait trop noir.

Franchement c’est trop comique comme situation, il fait le dur mais au final il est pire qu’une enfant. Oui UNE enfant, une fillette, une gamine qui a peur de son ombre. J’exagère ? Non je ne trouve pas. C’est à mourir de rire. Je pose mon pouce sur mes lèvres. Je dirais presque que s’en est ridicule.

-J’hésite entre dire que tu es ridicule ou hilarant. Limite tu te mettrai à genoux pour supplier le fait que je ne te laisse pas dans le noir. Tu veux une veilleuse ?

Je lâche un long, long soupir d’exasperation, je tourne la tête l’air légèrement blasée. Je reprends d'un ton plus calme.

-Tu dors ou tu veux tant que tu ne m’emmerde pas.

Ludovic hésitait à retirer son bat, malheureusement on verrait énormément de cicatrices durant sa jeunesse, manquerait plus qu'elle ne questionne à mort a ce sujet. Cela ne l'étonnerait même pas d'ailleurs cette fille-là et du genre à vouloir tout savoir, du moins c'est ce qu'elle laissait paraître. Ou alors elle en aurait strictement rien à faire, ce serait parfait. De toute façon quoi qu'il pouvait se passer, il s'agit seulement de vieilles blessures cicatriser ce n'est pas si étrange. Mais il est possible que les emplacements pourraient plutôt l'intriguer, soudain, celle-ci le chauffât.

"Donc ? Tu compte te dessaper entièrement ou c’est trop demander ? " Elle semblait insister, elle voulait bien évidemment distinguer son corps de beau gosse. Un corps de rêve, malheureusement, ses balafres qu'il possédait sur les cuisses mais également sur ses mollets gâchait un peu tout. Bon, c'est une autre façon de voir les choses, il était tout de même canon. Ludovic s'empressait de retirer son pantalon le balançant sur la chaise qui était placée en face.

A ton serviiice! s'exclamât-il toujours d'un sourire charmeur, essayant de passer au-dessus de son mal-être.

"C’est ce qu’on dit…" avait-elle dit, c'est vrai qu'elle n'avait peut-être pas tort sur le fait, mais de la à être désespéré, il était si horrible que ça? Franchement, il a tout pour plaire cette bouille d'amour. Il n'allait pas abandonner.

Oui, peut-être mais toi non plus tu n'es pas parfaite ma beauté annonçait-il du même regard que son interlocutrice, ce regard moqueur à peine franc, il tentait tout mais il ne vint pas. "J’hésite entre dire que tu es ridicule ou hilarant. Limites-tu te mettrai à genoux pour supplier le fait que je ne te laisse pas dans le noir? Tu veux une veilleuse . "
Celle-ci semblait quand même le mater, mine de rien. La demoiselle continuait à le rabaisser sans faire exprès elle avait touché un point sensible lorsqu'il avouait qu'il ne voulait en aucun qu'à dormir seul, dans le noir complet. Elle avait envie de rire, de cette fiche de lui en y repensant il est vrai que cette situation était assez délirante mais... . Ce ne l'était plus vraiment pour lui, oh non. Bien au contraire

Sa voix se serrât aussitôt, vous savez? Quand vous vous sentez humilier. Il est impossible de contrôler l'émotion mais il essayait fortement de garder sa crédibilité et de rien avouer à propos de ça, de son histoire et c'était la meilleure solution.

T'en as une, t'es serieuuuuse ?lui avait-il demandé, oui. Il était sérieux Drew enchainât a nouveau. "Tu dors ou tu veux tant que tu ne m’emmerde pas."

Il s'en était réjoui un instant mais... . C'est compliquer, sue pouvait-il réellement penser à propos de cette belle blonde? Certainement qu'elle jouait avec lui, vois elle arrivait à le manipuler. Il reprit aussitôt ses esprits et il acceptât bien évidemment, celui-ci se dirigeât alors dans une des pièces qui pensaient être la chambre de la fille, sauf que ce n'était pas vraiment le bon chemin, il s'élançât d'un pas dans la salle de bain. Le sol était encore mouillé le voilà brusquement attiré en direction du lavabo, il se cognat la mâchoire d'une force mémorial.

Mer..d.
Merde, voulait-il avouer. C'est sur il allait encore en prendre pleins la tronche, il imaginait différentes phrases provenant de la jeune fille qui avait assisté à la scène qui sans trop tarder être morte de rire. il y souriait rien que d'y pensé, de plus. Cette fille était tellement belle quand elle souriait, Quesque-qu'il ne ferais pas.

A ton serviiice!


Je n’y crois pas, ça se voit qu’il est pas à l’aise mais il compte quand même se déssaper. Il veut aller jusqu’ou ? Je remarquer en particulier ces cicatrice, qui, qu’on se le dise se passe pas inaperçu. Enfin qu’il se soit fait agresser ou que ce soit autre chose, je m’en fiche. Cela ne me regarde pas.

-Oui, peut-être mais toi non plus tu n'es pas parfaite ma beauté.

Hum, comment répondre à ça sans philosopher, ou être méchant. Je n’ai pas vraiment envie de me taper la discute toute la nuit mais, j’avoue que je n’ai rien à faire de mieux. Je lève les yeux au ciel, je n’aime pas la perfection.

-Encore heureux, la perfection n’a aucun intérêt. C’est bien plus intéressant quelqu’un qui n’est ni parfait, et qui ne ressemble à personne d’autre.

Vint ensuite le sujet de la veilleuse : T'en as une, t'es serieuuuuse ? Ou là là, il lui manque vraiment une case à celui-là. Et après c’est moi que l’on qualifie de bizarre ? Non vraiment faut le faire pour demander ce genre de chose. Il veut pas non plus que je lui prépare un biberon ? A ce que je sache, j’ai pas une gueule à dormir avec une veilleuse.

-Hum, comment dire... Non.

Je le regarde partir vers la salle de bain. Je me redresse et m’avance vers mon placard. Je commence à renier deux, tris affaires. Un énorme boucan retentit dans la chambre. Soit un éléphant c’est tapé l’incruste, soit le nouveau est un boulet et ne sait pas mettre un pied devant l’autre, j’hésite. Je lâche un soupir, et m’approche dans le plus grand des calmes, vers la salle de bain. Je m’arrête à l’encadrement de porte ou je me pose contre les bras croisés, l’air exaspéré. Ce type est vraiment un cas, et c’est pas forcément dans le bon sens.

Je regarde Ludovik écrasé par terre, ça doit être douloureux quand même de se cogner la tête contre un lavabo. Mais il faut vraiment avoir deux pieds gauche pour réussir cet exploit. Mer..d. Ah oui ça tu peux le dire. Quelle idée de se précipiter dans une salle de bain alors que quelqu’un vient à peine de sortir de la douche. Bon soit je vais faire mine que je compatis, pour passer le temps. Je m’approche de lui, le regarde et soulève sa tête du bout des doigts.

-Bon, ça va tu vas pas mourir.

Je me relève doucement pour ne pas finir comme lui, c’est à dire étaler par terre avec la mâchoire explosé.

-Tu n’es pas très doué quand même. On t’a jamais dit qu’il ne faut pas courir autour d’une piscine ?